François et Jeannine, deux collaborateurs compassionnels des LGBT…

Le 10 décembre de l’année dernière, Bergoglio, l’occupant actuel du Siège Pontifical, a adressé une lettre à la religieuse moderniste Jeannine Gramick, lobbyiste notoire depuis le début des années 70 en faveur des homosexuels au sein de l’église conciliaire, afin de la féliciter des 50 ans de son incompatible – avec le Magistère de l’Eglise –  « ministère » auprès des LGBT.

En réponse à une lettre que Jeannine Gramick lui avait adressée précédemment, l’Argentin a remercié cette dernière de lui avoir rappelé le « style (sic) de Dieu » qui pourrait se résumer, selon lui, en trois mots « proximité, compassion, tendresse ». Triptyque répété 4 fois dans une courte lettre.

« Tu n’as pas eu peur de la « proximité » [avec les invertis], et en devenant proche [d’eux] tu l’as fait « en souffrant avec eux » (compassion) et sans condamner personne, mais avec la tendresse d’une sœur et d’une mère ». (Extrait de la lettre)

On devrait rappeler brièvement ici qui est Jeannine Gramick : née en 1942 à Philadelphie, cette Américaine d’origine polonaise fit des études en mathématiques dans les années 60 avant de rejoindre l’église conciliaire et de s’engager en faveur des homosexuels chrétiens et catholiques. Depuis le début des années 70 « sœur » Jeannine s’adonna à un travail de lobbying frénétique afin de sensibiliser le plus possible les structures modernistes au sujet des homosexuels et de leur « souffrance ». Elle fut, entre autres, cofondatrice des groupes lobbyistes homosexualistes modernistes Dignity USA en 1973 et New Ways Ministry en 1977 ainsi que de la Conference for Catholic Lesbians. Parmi ses écrits figurent des titres comme: « Homosexuality and the Catholic Church, » « Homosexuality in the Priesthood and Religious Life, » « The Vatican and Homosexuality, », « Voices of Hope: A Collection of Positive Catholic Writings on Lesbian/Gay Issues. »

Cette approbation de « l’abomination » (1) sous couvert de compassion ainsi que l’emploi abusif et décomplexé du vocabulaire woke de la part de Bergoglio sont de nouveaux signes éclatants de la dégénérescence de l’église moderniste ! Dans cet écrit court mais très révélateur de l’état d’esprit de l’occupant actuel de Rome, une sinistre triade (proximité, compassion, tendresse) semble avoir remplacé la Loi divine et l’enseignement théologique et moral de l’Église. Il n’y a aucun doute que « l’église hérétique ultra-progressiste », selon l’expression de Mgr Carlo Maria Viganò, se veut avant tout ouverte et éveillée aux tendances les plus néfastes du monde.

Les Catholiques voulant garder la foi du Christ et rester fidèles à Sa Sainte Église doivent mesurer la gravité mortelle des dérives des modernistes et rejoindre la Tradition.

« C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. » 1er Rom 1 :25-26

(1) « L’homme qui couchera avec un mâle à coucherie de femme, ils font une abomination. » [Lévitique XX,13]

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