Belgique – Le 12 janvier, une manifestation de catholiques réclamant de pouvoir assister à nouveau à la Messe n’avait été autorisée en région bruxelloise qu’à la condition que les manifestants ne soient pas plus de 100 et respectent les distances sanitaires et le port du masque.
Le lendemain, le 13 janvier, une manifestation d’immigrés avait été autorisée par le bourgmestre turco-belge Emir Kir sans imposer du tout les mêmes conditions. Les manifestants, essentiellement d’origine immigrée, étaient dès le départ plus de 500 malgré toutes les restrictions sanitaires imposées à la population belge.
Comme c’était évidemment prévisible, cette manifestation a tourné à l’émeute. Deux commissariats de police ont été partiellement incendiés, de même qu’un commerce et plusieurs véhicules stationnés sur le parcours des manifestants. Une école maternelle a été vandalisée, une pharmacie a été saccagée, des commerces ont été pillés.
Le moment le plus surréaliste est l’arrivée inopinée du convoi royal au milieu de ce chaos. Le Roi Philippe rentrait chez lui et son service de sécurité n’avait même pas été averti qu’une émeute se déroulait sur le trajet que son chauffeur comptait emprunter. C’est sous les quolibets et les projectiles des émeutiers que le véhicule du roi des Belges a été détourné de sa route, des policiers en civil tentant tant bien que mal d’en assurer la protection extérieure.
Les émeutiers, souvent d’origine maghrébine, ont bien ri. Si de tels faits s’étaient déroulé au Maroc, sur la voiture du roi du Maroc, ils auraient beaucoup moins ri. Et en ce moment même, tous ceux qui auraient eu la chance de parvenir à prendre la fuite seraient traqués comme des bêtes par une police impitoyable. Puisque leur pays d’accueil leur déplaît, pourquoi ne pas réserver à ces émeutiers les méthodes marocaines ?
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