Avec plus de 80 millions d’abonnés, Trump est largement actif sur Twitter, une manière de contourner la censure ou malhonnêteté de la presse mainstream à son égard.
Mais depuis plus de deux semaines un véritable bras de fer est engagé entre Trump et Twitter.
Le réseau social, dont le patron Jack Dorsey est un opposant politique de Trump et s’affiche comme un soutien des Démocrates américains, a décidé dernièrement, selon une modération toute subjective, de s’en prendre au président américain en signalant deux de ses tweets contre le vote par correspondance comme « trompeurs », en en masquant un troisième sur les affrontements de Minneapolis en le considérant comme une « apologie de la violence », et en désactivant une vidéo d’un autre tweet « suite à un signalement du détenteur des droits d’auteur ».
Twitter and @Jack are censoring this uplifting and unifying message from President Trump after the #GeorgeFloyd tragedy.
The same speech the media refused to cover.
Here is the YouTube link.
WATCH AND MAKE IT GO VIRAL: https://t.co/7V72z7JiKm https://t.co/xBgkc1bvPm
— Team Trump (Text TRUMP to 88022) (@TeamTrump) June 4, 2020
En réponse à ces attaques répétées, qui sont des attaques politiques, Trump s’active désormais pour limiter le pouvoir des plateformes. Le président américain a frappé un grand coup jeudi 28 mai en signant un décret visant à limiter la protection judiciaire des réseaux sociaux afin explique-t-il de « défendre la liberté d’expression ».
Ci-dessous la fameuse vidéo censurée :
Francesca de Villasmundo
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