La situation est donc toujours plus dramatique en Turquie.
Et les décisions gouvernementales ne sont pas bien différentes de celles imposées par le gouvernement français à ses concitoyens. C’est le raisonnement énoncé, à juste titre, par le vice-premier ministre turque, Numan Kurtulmus, en suspendant la convention :
« Comme a fait la France » après les attentats.
En soulignant ensuite que l’état d’urgence pourrait durer 45 jours et non 3 mois comme annoncé précédemment :
« Nous voulons la fin de l’état d’urgence le plus vite possible. »
A comparer avec un état d’urgence qui s’éternise en France sans vaincre le terrorisme. État d’urgence que le matamore Manuel Valls, après l’attentat de Nice, vient de prolonger de 6 mois…
Les libertés individuelles des Français de souche se réduisent et la surveillance drastique d’Internet s’accroît !
Turquie-France, même combat ? Contre les dissidents ?
Francesco de Villasmundo
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