La presse identitaire bretonne, confirmée par l’Observatoire de la christianophobie, montre que les blattes rouges sont toujours aussi lâches… Pendant le week-end pascal, en deux étapes, la tombe de l’Abbé Jean-Marie Perrot, mort martyr assassiné par les communistes le 12 décembre 1943, a été détruite par l’extrême-gauche, celle-là même qui localement collabore avec les colons et les islamistes et que les patriotes bretons surveillent de très près.
Le journal catholique breton Ar Gedour (la sentinelle), narre les faits dans son édition du 3 avril :
« L’abbé Yann-Vari Perrot, que l’on ne présente plus à nos lecteurs d’Ar Gedour, est enterré auprès de la chapelle de Notre-Dame de Koat-Keo à Scrignac (diocèse de Quimper et Léon) : chapelle classée Monument Historique qu’il a rebâtie avec l’aide de James Bouillé et de bien d’autres.
En ce week-end pascal, sa tombe vient d’être dégradée, et disons le mot, profanée. Selon les inscriptions découvertes, la profanation revêt un caractère politique et vise particulièrement des groupes politisés. En effet, les dégradations coïncident avec la venue de groupes catholiques bretons pour commémorer sa mémoire, à l’occasion d’une journée organisée chaque année par l’Unvaniezh Koat Keo le lundi de Pâques, célébrant à la fois l’anniversaire de la mort de l’abbé (12 décembre 1943) et les Pâques sanglantes irlandaises de 1916. Une messe est organisée chaque année dans ce cadre et à cette occasion les catholiques bretonnants viennent se recueillir sur la tombe de l’abbé Perrot. Depuis plusieurs années, outre les catholiques, des militants politiques se greffent au rassemblement. Leurs opposants semblent désormais déterminés à user de tous les moyens pour arriver à l’affrontement, l’abbé devenant en quelque sorte “dégât collatéral” de dissensions et d’oppositions dont sa figure n’avait certainement pas besoin.Ce matin donc, les riverains et personnes présentes sur le site de la chapelle de Koat-Keo n’ont pu que constater les dégâts. Les gendarmes étaient déjà sur place pour les constatations d’usage et la sécurisation des lieux. La croix celtique qui surplombait le tertre a été mise à terre puis taguée “Facho er maez” que l’on traduirait “facho dehors”. Sur le montant de l’autel extérieur, la mention FTP surmontée d’une triple flèche, symbole utilisé par tout opposant au nazisme, mais qui trouve ses racines notamment chez Serge Tchakhotine, marxiste-réformiste russe qui en a revendiqué la paternité. Il faut savoir que l’orientation des flèches allaient initialement d’en haut à droite frappant en bas à gauche, démontrait par la symbolique qu’un pouvoir supérieur au nazisme, plus organisé, plus discipliné, pouvait l’anéantir. Les trois flèches constituent donc un symbole guerrier marquant un combat frontal et violent, loin de l’image pacifiste du réformisme. Ici, ce tag a été inversé et la mention FTP signe clairement l’acte, puisque l’assassin de l’abbé s’est revendiqué des FTP (Francs-tireurs partisans)… tout en étant payé 10 000 francs de l’époque pour sa basse œuvre. Une phrase délavée par la pluie de la nuit avait été écrite sur les deux marches d’accès. Il semblerait que cela corresponde à la phrase suivante : “Pas de repos pour les merdes nazies”, d’après ce que nous avons pu en voir. Plus loin, sur l’abri des chasseurs, nous apercevons un autre slogan “Ar Menez Are enep faskour” (Les monts d’Arrée contre les fachos) et quelques autres. Selon nos sources, l’action se serait passée en deux temps : samedi matin, la croix était déjà abattue, mais les tags n’étaient pas présents. Le maire s’était rendu sur place pour apprécier les dégâts. Ce lundi, l’élu a de nouveau été appelé pour constater les nombreux tags sur la tombe, mais aussi sur la chapelle et sur une maison qui sert de relais de chasse située derrière l’édifice religieux. Cette construction est une propriété privée sans rapport avec la chapelle où l’abbé. Les propriétaires vont être prévenus de l’atteinte à leur bien. Mais cette profanation n’est pas le fruit du hasard et correspond parfaitement à la date de l’événement qui a lieu chaque année et avait été relayé sur les réseaux sociaux et sites internet divers […] Deux plaintes seront déposées à la gendarmerie de Carhaix, l’une au nom de la paroisse et l’autre au nom des propriétaires de la tombe de l’abbé Yann-Vari Perrot. La tombe quant à elle sera restaurée, comme nous l’a confirmé le propriétaire de la tombe […] »
Le journal dissident breton Breizh Atao accuse nommément un membre de la NPA d’être à l’origine de cette profanation dès le 2 avril :
« L’Abbé Perrot, qui s’est engagé toute sa vie pour la défense de la langue bretonne, a toujours été respecté par les militants bretons, y compris ceux qui se situent à gauche. Cette action porte un nom : Gaël Roblin. ». Le 4 avril, il donne des éléments nouveaux : « La profanation de la tombe de l’Abbé Perrot, défenseur de la cause nationale bretonne assassiné par les égorgeurs communistes en 1943, est venue nous rappeler cette vérité : l’ennemi est un et indivisible, c’est la gauche d’importation française. Et elle doit s’attendre à déguster. Tout d’abord, nous avons retrouvé, derrière cet acte, la bande de marginaux et de camés gravitant autour de l’élément infiltré Gaël Roblin. De manière caractéristique, l’intéressé se trouvait à Lorient pour agiter l’opinion en faveur de l’organisation communiste et terroriste kurde du PKK et de son faux-nez syrien du YPG. C’est sur le retour de la bande que la profanation a eu lieu. Celui qui a, seul, détruit la gauche indépendantiste bretonne à la fin des années 90, bénéficie de la plus grande bienveillance de la part du système politique et médiatique actuel. Il ne se passe pas une semaine sans que cet agent ne soit opportunément mis en avant par la presse d’état. Nous sommes familiers de la rhétorique des tenants séniles du communisme. Inutile de revenir extensivement sur les actions de ces bienfaiteurs de l’humanité. Il nous suffira de citer les exploits des FTP qui, à Scaër en 1944, torturèrent, violèrent collectivement et exécutèrent des jeunes femmes innocentes de tout crime. Raffinement dans la sauvagerie : les héros du prolétariat enterrèrent leurs victimes encore vivantes. Ces actes de barbarie, goutte d’eau dans l’océan communiste, furent finalement admis sous la pression 73 ans plus tard par les reliquats d’un Parti Communiste Français honteux. De ces hauts faits, les rouges semblent ne jamais se souvenir. On trouvera en vain un seul écrit de Françoise Morvan revenant sur ces crimes. Ce sont donc ces égorgeurs et violeurs de gamines FTP dont se revendiquent très explicitement les profanateurs de ce week-end. Cela vaut tous les actes d’accusation : la vermine marxiste ne change pas (…) Dans l’immédiat, les nationalistes doivent réagir à la profanation de ce week-end et faire de cette souillure le point de départ de la riposte. Les rouges exagèrent de beaucoup leur poids. Ils vont en faire l’expérience. »
Hristo XIEP
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