La théorie du genre – « qui n’existe pas » selon les propos de Najat Vallaud-Belkacem et de Vincent Peillon – continue pourtant bien d’avancer ses pions à travers la monde. L’Allemagne autorisera la mention « sexe indéterminé » sur les certificats de naissance dès le 1er novembre 2013. Au Népal, depuis le mois de juin, un « troisième genre » est prévu sur les passeports. Une possibilité qui existe aussi déjà pour les passeports australiens.
En Thaïlande, le phénomène a pris nettement plus d’ampleur. Beaucoup de publicité est faîte à la télévision pour l’élection de Miss Tiffany, concours réservé aux transsexuels. Quelques artistes très célèbres localement, mannequins, chanteuses, actrices, sont en réalité des hommes transformés en femmes. Et le bouddhisme siamois ne favorise aucunement le redressement moral de la population. Au contraire, il est très bienveillant vis-à-vis de l’homosexualité et de la théorie du genre. Une sorte d’effet de mode entraîne donc de graves conséquences parmi la population et ce dès le plus jeune âge. De très jeunes garçons achètent par internet des hormones féminines et bloquent dès l’âge de la puberté leur développement masculin naturel.
Une université est notoirement connue pour accueillir en grand nombre ceux qu’on appelle là-bas les « ladyboys ». Depuis l’an 2000, les élèves « transgenres » peuvent revêtir l’uniforme féminin. La Suan Dusit Rajabhat University de Bangkok organise d’ailleurs son propre « concours de beauté transsexuel ».
Mais cette reconnaissance apparente cache évidemment une multitude de drames et la plupart de ces transsexuels finissent dans la prostitution. Cette folie générale a également des conséquences mortelles : beaucoup d’opérations se déroulent mal et le taux de suicide est également très élevé chez ces individus.
La théorie du genre est un fléau. Il est urgent d’en prendre conscience.
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