La dictature Lgbtqi s’empare de tous les moyens de communication pour faire son apologie. Cinéma, télévision, réseaux sociaux sont de la partie pour donner à ces « nouvelles mœurs » sexuelles affirmées arbitrairement et idéologiquement normales une toujours plus grande visibilité dans la société.
La télévision et ses séries B pour ados acnéens et adultes immatures est une vitrine de choix pour imposer la propagande des homos, lesbiens, trans et autres aux mentalités contemporaines et les conditionner à accepter ses changements de « mœurs » comme un bien humaniste et altruiste.
Ce soir sur TF1, groupe qui a signé la charte de l’engagement Lgbt, seront diffusés deux épisodes pilote ((Une femme à part et Coming out) ) d’un nouveau téléfilm, Louis(e) qui raconte l’histoire d’un père devenu une « mère » transsexuelle.
« La transsexualité reste encore en France un sujet tabou qui peut effrayer. Lui apporter de la visibilité peut permettre une évolution des mentalités. »
explique l’actrice Claire Nebout, qui incarne Louis(e), très à l’aise dans ce rôle de trans.
Interrogée par LCI, elle révèle que
« L’excitation a prédominé sur l’appréhension que j’aurais pu ressentir […]. Je vois Louise comme un personnage romanesque au destin extraordinaire. »
La directrice des programmes de TF1, Marie Guillaumoud, se montre tout aussi euphorique pour ce téléfilm engagé :
« Aujourd’hui, on peut tout se permettre et aborder des sujets très forts sans se voiler la face ».
Ne nous voilons pas la face : l’innommable idéologie du genre gagne du terrain dans les mentalités et la dictature Lgbtqi s’exhibe sur grand et petit écran dans des émissions et films poubelles. Une raison de plus de jeter sa télévision… à la poubelle !
Francesca de Villasmundo
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