Le cas de la Sea Watch 3 est un dangereux précédent au profit des ONG humanitaristes dont Matteo Salvini avait réussi à endiguer le trafic de passeurs au cours de l’année passée. Il y a encore quelques mois, on en voyait aucune à proximité des eaux italiennes. Maintenant, depuis la libération scandaleuse de Carole Rackete, par un juge politisée, Alessandra Vella, qui a relâché le capitaine du Sea Watch comme si de rien n’était, et malgré les lourdes accusations pesant sur la donzelle allemande, les ONG recommencent à peupler la Méditerranée.
Après tant de mois, refont surface Open Arms et Sea Eye. Même Mediterranea Saving Humans est présente bien que son bateau le Mare Jonio soit mis sous séquestre au port de Licata.
Pour elles toutes, Carole Rackete a été un véritable spot publicitaire en train de rapporter tellement d’argent qu’il y a de quoi assurer un tas de nouvelles missions. D’autant plus que ces officines immigrationnistes savent maintenant qu’elles peuvent se servir des fonds mis de côté pour les dépenses légales. Elles trouveront toujours des juges de l’acabit d’Alessandra Vella, politiquement corrects et indulgents envers les no-border, pour délivrer illico-presto leurs volontaires pseudo-humanitaristes et vraiment mondialistes quoi qu’ils fassent d‘illégal.
La libération de Carole Rackete du Sea Watch est une sorte de laisser-passer pour toutes les ONG chargée de migrants qui dorénavant se croiront autorisées à jeter par-dessus bord les lois italiennes et européennes. D’ailleurs l’invasion de l’Italie orchestrée par elles bat son plein ces derniers jours…
Francesca de Villasmundo
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