Martin Peltier, écrivain et journaliste, a travaillé à l’antenne locale de France 3 Aquitaine (1978-1979), au Figaro Magazine, au Quotidien de Paris, dont il a été rédacteur en chef adjoint, à Valeurs Actuelles, au Spectacle du Monde, à Minute, à Monde et Vie, à National-Hebdo, dont il a été directeur de la rédaction jusqu’en 1998, et a animé une émission sur Radio Courtoisie, le Libre journal de Martin Peltier, assisté d’Alain Sanders, d’Emmanuel Ratier et de Camille Galic. Il écrit encore pour Rivarol sous le pseudonyme d’Hannibal.
Son nouveau livre La révolution arc-en-ciel en marche est une remarquable synthèse de l’analyse politique qu’il prodigue depuis plus de vingt ans. Il n’a eu de cesse de répéter que le changement démographique de l’Europe était la conséquence et le moyen d’une révolution. Il affirme que le grand remplacement n’est somme toute qu’un détail, certes important, de cette révolution. Et il nous démontre que cette révolution qu’il qualifie d’arc-en-ciel est la fin de l’homme blanc, la fin d’une lignée, d’une civilisation, d’une façon de vivre – la nôtre.
Ce qu’il nous décrit avec une plume acérée, c’est une révolution polymorphe. Pourquoi la qualifie-t-il d’arc-en-ciel ? Martin Peltier fait référence à l’arc-en-ciel des races et des couleurs, le drapeau de l’Afrique du Sud de Mandela, l’arc-en-ciel du vivre-ensemble hypocrite ; à l’arc-en-ciel des genres et des préférences sexuelles, le drapeau LGBTQ, l’arc-en-ciel de la négation de la nature ; enfin à l’arc-en-ciel du climat et de la biodiversité, le drapeau de Gaïa, l’arc-en-ciel du panthéisme idolâtre. C’est la convergence des révolutionnaires.
A lire de toute urgence.
La révolution arc-en-ciel en marche, Martin Peltier, éditions DIE, 284 pages, 26 euros
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