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La pop-star militante LGBT, Kate Perry, promeut la méditation transcendantale au Vatican

La Conférence 2018 sur la médecine qui s’est tenue au Vatican n’était rien d’autre qu’un scandale puisqu’un podium a été offert à ceux qui promeuvent des pratiques anti-chrétiennes, voire diaboliques. La pop-star Katy Perry qui s’est flattée d’avoir vendu son âme au diable a fait au Vatican la promotion de la méditation transcendantale, après avoir été reçue très chaleureusement avec son dernier petit-ami, par le « taulier » si j’ose cette vulgarité, c’est-à-dire par François.

La chanteuse américaine Katy Perry, outre s’être vantée d’avoir vendu son âme au diable pour réussir sa carrière de pop star, est aussi  une grande promotrice de l’homosexualité (et autres LGBT) et ferait passer dans ses spectacles des « invitations à la possession démonique », ainsi que le rapporte le Huftingtonpost. Cela n’a rien de surprenant venant d’une pop-star, la France connaît depuis 2006 le Hellfest qui a lieu chaque été en Loire-Atlantique et qui promeut le même genre d’abominations. Ce qui est plus préoccupant, voire carrément effrayant, c’est que cette créature a été invitée au Vatican, dans le saint des saints de l’Eglise officielle (ou apparente), comme spécialiste des questions sanitaires ou éthiques pour promouvoir la méditation transcendantale à l’occasion de la « Conférence 2018 », qui avait pour objet,  pour la quatrième fois en huit ans, « de débattre de l’impact des évolutions de la médecine et de la science. » Mais si, à cette occasion, la chanteuse était la plus mondialement connue et la plus sulfureuse, elle n’était pas  seule à faire scandale.

Cette conférence internationale a été « Créée par le Conseil Pontifical pour la Culture du Vatican, la Fondation Cura, le STOQ ( Le pape Benoît XVI est à l’origine de la “Fondazione Scienza e Fede – STOQ”) et la Fondation Stem for Life, cet événement international réunira les plus grands scientifiques et médecins, patients, éthiciens et dirigeants de la foi, responsables gouvernementaux et philanthropes du monde entier, sur les dernières percées scientifiques et l’espoir pour l’avenir. » Indique Le Vatican

Le critère de référence revendiqué de la Conférence est donc bien « la foi », ainsi qu’on peut le lire sur le site du Vatican. On pourrait penser, venant du Vatican, qu’il s’agit de la Foi catholique. Mais ce genre de préjugé simpliste c’était avant Assise! Et comme à Assise, lors de la Conférence du Vatican, toutes les croyances s’y sont côtoyées, faisant de cet événement une horrible foire syncrétiste et… pseudo-éthique. Bizarre que cela puisse encore étonner…

Les positions catholiques sur la médecine avaient pourtant leurs promoteurs, certains ont défendu « l’utilisation exclusive des cellules souches adultes dans les nouvelles thérapies en proscrivant le recours aux cellules souches embryonnaires obtenues par destruction de tous petits êtres humains ». (Réinformation.tv) Mais peut-être n’étaient-ils là, au milieu des autres, que pour servir à propager dans les âmes la confusion déjà si grande?

Ainsi, « le Dr Deepak Chopra a fait l’éloge du contraire du stress : l’amour, l’empathie, la tendresse, l’équanimité et j’en passe, pour mettre fin à la maladie – celles « de la planète » et celles des hommes. Pour cela, la méditation (« ou la prière ») est souveraine, a-t-il expliqué. A la question de savoir si cette méditation est confessionnelle, il a répondu que toutes les traditions religieuses et spirituelles comportent des formes de méditation. Ainsi, a-t-il dit, la répétition du « Je vous salue Marie » ou de la phrase « Le Seigneur est mon berger » ou « Votre volonté soit faite » va « apaiser l’esprit : « C’est un mantra pour aller au-delà de l’esprit pour plonger dans le plus grand Esprit. » L’assistance n’a pas moufté, pourtant il y avait des hommes d’Eglise, Mgr Vincenzo Paglia au premier rang. Vous avez dit syncrétisme ?  » (Jeanne Smits)

Katy Perry a été présentée par Bob Roth qui l’a initiée à la méditation transcendantale. Ce dernier « qui enseigne à des sénateurs et des élus à la chambre américaine des deux côtés de l’échiquier politique, dit Jeanne Smits, s’est vu offrir une conférence plénière d’une heure. Adulé sur les talk-shows américains, il propage sa technique « simple et naturelle » pour accéder sans effort à la quiétude et au silence. » 

Une méthode à mettre en parallèle avec la fameuse minute de silence ou dans une certaine mesure avec les marches blanches silencieuses… qui ne servent à rien si elles ne sont pas des prières qui montent vers Dieu, Lui seul capable de se « laisser toucher » et d’intervenir pour l’âme d’un mort ou pour toute autre prière humaine. Or cette technique « peace and love » est bien évidemment en contradiction avec l’enseignement de l’Église:

« Ce qui disparaît dans cette abominable utopie de la paix et du bonheur par une technique mécanique, c’est toute notion de bien, de mal et surtout de salut obtenu au prix du sang par notre Rédempteur. C’est une ressource interne à l’homme « autosuffisant ». Le rêve des gnostiques, des kabbalistes, des maçons, de ceux qui glorifient la « mémoire longue » en mettant toutes les traditions spirituelles de l’humanité sur un pied d’égalité. » indique Jeanne Smits, citant Lifesitenews.

« Un responsable du Conseil pontifical pour la culture a déclaré avant la conférence à LifeSiteNews que l’idée de faire intervenir des partisans de la méditation transcendantale était née de la volonté de les laisser s’exprimer puis de les contrer de manière « robuste », afin de faire comprendre aux catholiques participants quels sont les défis qu’ils rencontreront dans le monde de la santé. Mais il n’y a pas eu la moindre contestation face à ces invités, ni robuste ni même molle », indique Diana Montagna.

Kate Perry est venue en sa qualité de pop-star aux 40 millions de disques vendus, faire la promotion de l’initiation transcendantale qu’elle doit à son propre initiateur Bob Roth.

La puissance du diable par le militantisme LGBT

La chanson qui a propulsée Kate Perry sur la scène mondiale est  I Kissed a Girl (« J’ai embrassé une fille et j’ai aimé ça ») :

Katy Perry, 33 ans, a connu la célébrité en 2008 avec son single sur le thème lesbien « I Kissed a Girl ». Poussant la controverse avec ses thèmes homosexuels, Perry a interprété la chanson dans toutes ses tournées de concerts. Elle a été nominée pour la chanson préférée aux Kids’Choice Awards 2009.

« En vérité, j’ai fait plus que cela », a-t-elle déclaré après avoir reçu le prix national de l’égalité pour son activisme LGBT en mars 2017. « Mais comment pourrais-je réconcilier cela avec la chanteuse gospel qui a grandi dans des groupes de jeunes? c’était des camps pro-conversion », a déclaré à la foule la fille des prédicateurs pentecôtistes itinérants qu’elle est. [voir vidéo ci-dessous]

Perry a déclaré qu’elle avait édité les paroles de « I Kissed a Girl » pour se débarrasser des « stéréotypes », disant au magazine Glamour: « Nous avons changé, en conversion, dans les 10 dernières années. Nous avons parcouru un long chemin. La bisexualité n’était pas aussi évoquée à l’époque, ni aucun type de fluidité. « 

Et quelques jours après avoir rencontré le pape François, Perry a célébré le 10e anniversaire de la chanson sur Twitter.

Elle est également militante et grosse donatrice du Planning Familial américain, le plus gros pourvoyeur d’avortements aux États-Unis.

Une star scandaleuse sert les mains de François et prend la parole au Vatican

La pop-star a cherché à acheter à des religieuses une propriété de 8 acres et ses bâtiments de style villa romaine dans le quartier Los Feliz de los Angeles pour 14,5 millions de dollars. Elle a fait déménager une maison de prière adjacente utilisée par des prêtres catholiques. L’archidiocèse de Los Angeles a approuvé la vente à Perry contrairement aux souhaits des sœurs qui occupent la propriété. L’entrepreneur californien Dana Hollister est intervenu pour tenter d’acheter la propriété aux sœurs, mais un juge a annulé la vente début 2017, affirmant que l’archidiocèse avait le droit de vendre la propriété, pas les sœurs. En décembre dernier, un jury a conclu que Hollister devait verser 3,47 millions de dollars à l’archidiocèse et 1,57 million de dollars à Perry pour ingérence dans les relations contractuelles et autres méfaits. La star et l’archidiocèse travaillent toujours sur les termes de la vente. Mais l’archidiocèse a besoin de la permission du Vatican pour le finaliser. Lifesitenews

Après avoir serré les mains du pape et joué les papesses au Vatican, il serait surprenant que la vente échappe à la star.

L’une des sœurs, Sr Catherine Holzman, 89 ans, s’est effondrée et est morte il y a deux mois lors d’une procédure judiciaire connexe devant un tribunal du comté de Los Angeles. Les soeurs ont dit que ce serait un « péché de vendre à » Perry, qui a dit une fois qu’elle a vendu son âme au diable pour gagner du succès dans l’industrie de la musique.

« Voilà l’exemple qui a été donné à un parterre d’ invités par le Vatican, sur le territoire du Vatican, au cœur de l’Eglise. Katy Perry interprète aussi ses chansons sur fond de vidéos extravagantes, remplies de symboles qui ne trompent pas : pyramides, l’œil qui voit tout, Katy Perry mise en scène comme la putain de Babylone à cheval sur la Bête… C’est peu de dire que ces clips provoquent un sentiment de malaise. Voyez Dark Horse, avec ses menaces : « Une fois que tu seras à moi, il n’y aura pas de retour. » Diane Montagna

De la promotion de l’homosexualité au satanisme

Dans l’une de ses vidéos musicales, elle promeut le cannibalisme, avec des liens clairs avec les pratiques occultes de certains démocrates à Washington DC. Dans la vidéo « Bon Appétit », Perry est cuisinée par des chefs et offerte comme un repas à une fête d’invités d’élite comme plat principal. La vidéo se termine alors qu’elle est sur le point de manger une tarte contenant des parties du corps des invités. « Il s’agit clairement d’une activité satanique et Katy Perry y est liée », a déclaré  à LifeSiteNews un théologien moral qui a souhaité garder l’anonymat.

Ayant apporté son soutien entier à la campagne d’Hillary Clinton, Kate Perry a raconté son « éveil » lorsque sa candidate n’a pas été élue le 8 novembre 2016 – elle était au siège de campagne avec Lady Gaga. Aujourd’hui, raconte-t-elle au New York Times en juin 2017, elle se sent très autonome. « Extrêmement libérée, libérée des conditionnements qui dictaient la manière dont j’avais l’habitude de penser, libérée spirituellement, libérée politiquement, libérée sexuellement, libérée des choses qui ne servent pas. » Traduisez : libérée du dogme et des lois, de la vérité et de son éducation chrétienne. Non serviam. Tout cela sent la contre-morale maçonnique à plein nez. [ci-contre Katy Perry au Zénit à Paris en 2011]

En 2009, lors d’un entretien accordé à la journaliste australienne Ruby Rose, Katy Perry racontait déjà combien elle s’était éloignée de son environnement d’origine. « Je le jure, je voulais être l’Amy Grant de la musique », dit-elle – allusion à une chanteuse de gospel country. « Ça n’a pas marché, alors j’ai vendu mon âme au diable »ajoutait-elle sur un ton léger, indique Jeanne Smits.

Tout cela ne l’a pas empêché de rencontrer le pape François en compagnie de son actuel petit ami Orlando Bloom, selon ce que rapporte la presse catholique, papolâtre.

Syncrétisme et panthéisme

Deepak Chopra, grand promoteur de la méditation est également le fondateur d’une fondation qui porte son nom. Elle fait actuellement la promotion d’un film, Death makes life possibleLa mort rend la vie possible. Un bijou empoisonné de syncrétisme à la sauce orientale, qui reprend ce que Chopra lui-même professe, flanqué de statues de divinités hindoues.

Car il pense qu’il y a une vie après la mort, parce qu’au fond de l’homme est, comme il dit, « vide informe qui s’expérimente en tant que forme », et qu’en mourant chacun subit le sort de toute réalité : le « recyclage ». Comme une cellule qui se dissoudrait dans l’océan, comme une spirale qui monterait vers une conscience plus haute et le dieu qui est « potentiel infini » (tout le contraire de la philosophie réaliste et chrétienne qui sait que Dieu est acte pur). « L’univers est la forme que prend l’informe infini », poursuit Chopra pour qui l’homme se vit en partie comme le « corps subtil » des ésotéristes – « anges, êtres, démons, déesses de toutes les traditions religieuses, expressions symboliques de la conscience dans le domaine subtil » – puis après la mort comme « être sans forme ». Et s’il y a une vie après la mort, c’est parce que tout se recycle, « même le plastique, pour l’amour de Dieu ! », affirme Deepak Chopra : « La matière se recycle, l’énergie se recycle, l’information se recycle… la conscience se recycle. » « Votre âme est cette petite parcelle de conscience » qui après la mort se recycle comme dans un « océan de cellules – mais n’oubliez pas, cette goutte dans l’océan est aussi l’océan dans la goutte, et donc vous êtes l’océan divin qui a assumé cette goutte. »

C’est le « tout est dans tout et réciproquement » des Orientaux pour qui sujet et objet n’existent pas, pour qui il n’y a pas de différence entre le Créateur et le créé, entre la nature et la grâce, pour qui l’homme se dissout ou s’étend dans la conscience universelle. Singerie de vie éternelle qui est à l’inverse de la foi des catholiques, fondée sur la certitude de la Résurrection du Christ et accompagnée de l’Espérance de la Résurrection des corps. Jeanne Smits

l’Enfer au Vatican

Il y avait encore Peter Gabriel, l’un des fondateurs de The Eldersles « sages » ou les « anciens » qui autour de Kofi Annan, Mandela, Mary Robinson marchent de front avec les défenseurs de la culture de mort et des droits LGBT.

Mais aussi une autre Kate ; Kate Roberts, première vice-présidente de Population Services International qui se mobilise contre le sida… et pour les contraceptifs de longue durée en Afrique. Et pour l’avortement sûr et légal, présentée comme une exigence urgente de santé publique. Elle s’est exprimée au Vatican pour dire tout l’intérêt de la « philanthropie » au service de la santé, sous une icône de la Vierge à l’Enfant… Il va sans dire qu’en tant qu’hôte de marque, elle n’a pas été contestée, ajoute Jeanne Smits.

Peut-on encore feindre de croire que François est innocent de ces crimes ? Qu’il ne fait pas lui-même et certains membres de son entourage la promotion de l’anti-christianisme ?

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