Le journaliste alternatif Vincent Lapierre cherchait à couvrir la manifestation syndicale anti-Macron. Après quelques dizaines de minutes d’interviews, des gros bras du service d’ordre syndical bloque le passage à Vincent Lapierre, l’empêchant de faire un travail d’information.
Arrive alors un commissaire divisionnaire. Que croyez-vous que va faire celui-ci ? Intimer l’ordre à Vincent Lapierre de cesser de suivre cette manifestation ! Mais Vincent Lapierre n’est pas encore au bout de ses surprises.
Au mépris de la loi, ce commissionnaire divisionnaire réclame une carte de presse pour pouvoir permettre à Vincent Lapierre de faire son travail. Or, la profession de journaliste n’est pas réglementée. La carte de presse n’est exigée que dans certaines circonstances particulières, et pas lorsqu’il s’agit de couvrir un événement sur la voie publique. Mais rien n’y fait, et Vincent Lapierre et son équipe sont finalement encerclés par des CRS…
Vous avez dit police politique ?
Notons au passage que les syndicats soi-disant anti-Macron et les CRS aux ordres de Macron sont finalement les meilleurs amis du monde !
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