Assassinat des religieux espagnols entre 1936 et 1939, un véritable génocide.
La fusillade du monument au Sacré-Cœur de Jésus sur le Cerro de los Ángeles, le 28 juillet 1936, a précédé son explosion et constitue un exemple flagrant et irréfutable de la haine qui animait la persécution religieuse qui avait lieu.

Seconde République espagnole : Ce que les communistes ont fait aux catholiques n’était rien d’autres qu’un génocide.

C’est ce que démontre le Père Jorge López Teulón sur son blog religionenlibertad en expliquant que les assassinats du clergé et des religieux faisait partie d’un plan stratégique visant à décapiter l’Église catholique  qu’il fallait à tout prix détruire.

Or, se prévaloir d’une stratégie d’élimination physique d’un groupe social est quelque chose qui est conforme à la définition des crimes de génocide  énoncée dans les  Statuts de Rome de la Cour pénale internationale [CPI], dont l’article 6 caractérise ainsi  les actes mentionnés ci-dessus  : ceux qui sont « perpétrés dans l’intention de  détruire en tout ou en partie un groupe national, ethnique, racial ou religieux  en tant que tel ».

Quelques exemples des crimes commis par les génocidaires communistes :

Sur les 292 prêtres assassinés de l’archidiocèse de Tolède (48% de l’ensemble du clergé diocésain), seule une vingtaine d’entre eux jouissaient d’une grande notoriété dans le domaine social et politique. Les autres, pour la plupart, n’étaient que de « simples curés de campagne ».

Les 51 martyrs clarétains de Barbastro étaient membres d’une communauté formatrice qui, le 20 juillet 1936, était composée de 9 prêtres, 39 étudiants proches de l’ordination sacerdotale et 12 frères missionnaires. Au total, 60 membres. 51 d’entre eux sont morts en témoignant de leur foi. Les 9 prêtres formateurs, 37 étudiants en théologie et 5 frères. Sept des frères n’ont pas atteint la palme du martyre parce qu’ils étaient loin de chez eux et deux étudiants, parce qu’ils étaient argentins, ont été libérés. La grande majorité était donc des jeunes âgés de 21 à 25 ans . Malgré leur jeunesse, ils ont su « être à la hauteur » de leur vocation et des « circonstances tragiques » qui se présentaient à eux.

Miliciens républicains revêtus des vêtements cléricaux des prêtres qu’ils viennent d’exécuter.

Laissons la parole à un de nos lecteurs qui résume bien la réalité historique cachée par l’Etat profond :

« Le camp républicain espagnol (franc-maçons, « démocrates », staliniens, socialistes, anarchistes, indépendantistes basques) s’est couvert de honte et a commis un Himalaya d’atrocités entre 1936 et 1939. Mais, pour nos politiciens, historiens et médias français, c’est le Général Franco qui est un monstre ! Cherchez l’erreur… »

Vivement un Nuremberg du communisme et de ses 110 millions de morts !

Rastignac

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