Pour le dire vite…
Partout où les Américains se mêlent d’implanter la paix, on est sûr que la guerre et les catastrophes humanitaires suivent ! Pour ne parler que de leurs dernières bonnes œuvres : l’Afghanistan, la Syrie, l’Irak, l’Ukraine, on pourra saluer les progrès de la paix dans ces pays… Tous ces pays étaient calmes avant qu’ils ne s’en mêlent… Mais la paix, est-ce la paix, si ce n’est pas la Pax Americana ?
Une paix guerrière -Comment la nommer ?- qui engendre inéluctablement des déplacements de populations, lesquelles vont déstabiliser d’autres pays, de proche en proche et de loin en loin…
La Pax Americana, ce n’est pas seulement le modèle pacifique américain. C’est aussi son modèle démocratique : brassage et métissage des populations et bien que contradictoires, politique des quotas et du communautarisme dont les émeutes des villes de Fergusson et de Saint-Louis, dans le Sud des USA, nous ont donné un des échantillons dont ce pays se garde bien de cultiver l’exclusivité.
Allons, pour schématiser, le principe de la Pax Americana c’est le déclenchement de conflits quelque part en dehors du continent nord-américain, conflits qui provoquent des déplacements de populations généralement musulmanes, qui de proche en proche, déstabilisent les pays jusqu’à aboutir dans une Europe de tradition chrétienne. Dans les pays d’accueil, les conflits, plus ou moins larvés, s’en suivent, et quand le cercle est achevé, il recommence. C’est le cercle vertueux de la Pax Americana.
En fait la Pax Americana c’est le mariage des contraires pour aboutir au chaos…
Emilie Defresne
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