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La mosquée de Poitiers a été nommée « Pavés des martyrs » en l’honneur des musulmans tombés lors de la victoire de Charles Martel en 732 – Vidéo

C’est l’imam de cette mosquée qui l’explique sans aucune vergogne: Le « Pavé des Martyrs » c’est le nom qu’il a donné à la mosquée de Poitiers en l’honneur des envahisseurs musulmans stoppés en ce lieu-même par Charles Martel, ainsi que l’expose dans la vidéo ci-après, l’imam de l’édifice. La « bataille du Pavé des Martyrs », c’est le nom par lequel les historiens arabes désignent la bataille de Poitiers qui a vu la victoire en 732 du chef des Francs Charles Martel sur l’armée d’Abd er-Rahman, signant ainsi l’arrêt de leur progression vers le nord de la France et le début de la libération de l’Aquitaine et du Languedoc. « Nous voulons que ce centre soit une mosquée et un centre de rayonnement culturel », s’enorgueillit le frère-musulman Boubaker El-Hadj Amor. « Le but de ce centre est de créer les conditions d’une rencontre avec l’islam et parler de cette religion sainte et pour qu’il soit un centre de prédication. Inch’Allah. » A la place d’une statue du libérateurs de la France, c’est donc un monument à la gloire des envahisseurs qui est dressé en ce lieu mémorable. C’est dire si c’est bien en conquérant que l’Islam implante en France ses gigantesques complexes politico-culturo-religieux, avec la complicité, -ainsi que s’enorgueillit cet imam-, des autorités de la ville et de celles du ministère.

https://twitter.com/RomainEspino/status/1014185001104166912

Génération identitaire qui a été condamnée pour avoir protesté de l’édification d’une mosquée sur le lieu même de la victoire de Charles Martel, c’est confiée à Valeurs actuelles Jeudi 5 juillet 2018:

Génération identitaire dénonce « le double discours » de l’imam. « Il est très radical et dans l’affrontement. Cette vidéo révèle le double jeu de l’UOIF et de l’islam politique, qui s’apparente à la taqîya et essaie de faire bonne figure dans les médias tout en développant un islam conquérant », confie son porte-parole Romain Espino, tout aussi scandalisé par le financement de cette « mosquée cathédrale » par « une puissance étrangère liée au modèle islamique » avec « la complicité des autorités ».

Une mosquée financée par le Qatar

Dans la vidéo, l’imam de Poitiers depuis 1995 admet en effet avoir bénéficié de fonds étrangers pour poursuivre la construction de la mosquée, interrompue plusieurs années durant en raison d’un manque de financement par les fidèles locaux. « Ce que nous avons construit, c’est grâce à Dieu et avec l’aide de l’organisation “Qatar Charity” », admet-il. L’organisation caritative, « bras humanitaire de l’émirat à l’étranger », « est devenue au fil des ans l’un des relais du soft power de Doha dans le monde », écrivaient les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot dans leur livre « Nos très chers émirs », publié en 2016.

En plus de sa mission humanitaire, « l’autre domaine d’activité de Qatar Charity, c’est le prosélytisme religieux, notamment en Afrique… », ajoutaient-ils, précisant que « l’ONG soutient dans le monde entier des projets de mosquées, d’écoles coraniques et d’instituts de mémorisation du Coran. » Y compris en France. Le Qatar, dont le mufti officieux est Youssef al-Qaradawi, prédicateur égyptien antisémite, pro-terroriste et interdit de territoire français depuis 2012, investit le plus souvent dans des mosquées gérées par l’UOIF ou ses satellites, comme celle, gigantesque, de Mulhouse, financée à hauteur de 2 millions d’euros.

Plus inquiétant, Qatar Charity a été accusée par les Etats-Unis, Israel et plusieurs pays du Golfe de soutenir le terrorisme. Selon des documents officiels, produits par la justice américaine, Oussama Ben Laden a utilisé l’organisation pour financer les activités criminelles de sa nébuleuse Al-Qaida dans les années 90. Des groupes djihadistes au sein de l’opposition syrienne ont aussi bénéficié de son soutien. Des djihadistes ont enfin opéré sous couverture de Qatar Charity au Mali, a révélé le Canard enchaîné.

Un projet encouragé par la mairie PS

Interrogé sur l’accord donné par les autorités politiques au projet, l’imam de Poitiers évoque le soutien personnel du maire PS, probablement Jacques Santrot. « Bien sûr, le maire, grâce à Dieu, est mon collègue à l’université. Il a encouragé la construction de ce centre, et nous avons pu, grâce à Dieu, obtenir la licence, dit-il. Le problème est que la licence est de dix ans et a expiré en 2013. Mais, grâce à la relation de fraternité et d’amitié entre le maire et moi, il m’incite toujours à accélérer l’achèvement du projet. Que Dieu nous bénisse. Inch’Allah. »

Son successeur socialiste Alain Claeys faisait lui partie des personnalités, qui ont soutenu l’imam et ses fidèles à la suite de l’occupation, en 2012, du chantier de la mosquée par des membres de Génération identitaire, opposés à sa construction. Des militants (dont cinq seront condamnés) avaient alors déroulé une banderole « 732, Génération Identitaire » sur le toit du bâtiment lors de cette opération symbolique destinée à lancer leur mouvement, qui dénonce depuis « l’islamisation » du pays. « Ils pestent un peu la haine, ils vivent il y a 13 siècles, ils vivent un peu dans la nostalgie de l’affrontement », avait osé à l’époque l’imam de Poitiers, traitant les activistes de « racistes ».

Qui est l’imam Boubaker El-Hadj Amor

Depuis le début, Boubaker El-Hadj Amor est le grand architecte de ce projet de Grande mosquée, bâtie sur un terrain de 7 000 m2 et dotée d’une salle de prière pour 700 fidèles et d’un minaret haut de 22 mètres, pour un coût global de plus de 3 million d’euros. Cet ingénieur en robotique de 61 ans, né en Tunisie et cadre de l’UOIF, devenue Musulmans de France en 2017, a mobilisé tous les réseaux de l’union islamiste, vitrine légale des Frères musulmans en France, pour participer à son financement. Son argument pour les convaincre ? « J’ai fait valoir l’histoire de Poitiers. Un lieu de culte et de paix  sur les ruines de la bataille de 732 : tout un symbole », leur a-t-il expliqué.

Un imam radical, pilier de l’UOIF

Celui qui a été vice-président de l’UOIF et président du conseil régional du culte musulman (CRCM) de Poitou-Charentes, a aussi enseigné à l’Institut européen de sciences humaines (IESH), en Seine-Saint-Denis, « un établissement d’enseignement supérieur privé spécialisé dans l’enseignement de la langue arabe, des sciences islamiques et l’apprentissage du Saint-Coran », fondé sous le patronage de l’UOIF. Le tout premier établissement, installé à Château-Chinon, stipendié par le Qatar, avait accueilli le théologien radical Youssef al-Qaradawi, qualifié même… d’« éminent savant » sur son site.

S’il professe en public un message de « fraternité », Boubaker El-Hadj Amor applique à la lettre le discours radical de l’UOIF. A propos de la loi limitant le port de signes religieux à l’école, dont le voile islamique, il déclarait en 2004 : « Nous considérons que c’est une loi injuste, mais la loi est là, il faut faire avec, il faudra attendre que la mentalité globale de la communauté française évolue vers l’acceptation du fait de la visibilité de l’Islam plus que ce qu’elle n’est aujourd’hui… » Dix ans plus tard, il s’opposait à la diffusion d’un fascicule par le rectorat sur « la prévention de la radicalisation en milieu scolaire ».

Mais le Conseil constitutionnel impose l’application de la fraternité à sens unique: de la part des envahis au bénéfice de leurs envahisseurs.

Sur le compte Facebook de la Grande mosquée de Poitiers, des photos montrent aussi des fillettes couvertes d’un hidjab, et un message fait la promotion d’une « grande journée de conférence » à Poitiers, à laquelle ont été invités « plusieurs conférenciers de renommée », parmi lesquels Hassan Iquioussen, prêcheur antisémite de l’UOIF, pour qui les attentats sont de « faux problèmes » et « les traîtres » à l’islam méritent « 12 balles dans la tête », mais aussi Hani Ramadan, frère de Tariq Ramadan et prédicateur radical, complotiste et anti-israélien, favorable à la charia et interdit de séjour sur le territoire français depuis avril 2017, dont la conférence ce jour-là était intitulée « l’islam, religion de paix et de tolérance »… Source Valeurs actuelles du Jeudi 5 juillet 2018

Les descendants chrétiens de Charles Martel ont été lourdement condamnés, tandis qu’à la place d’une statue du vainqueur-libérateur, se dresse aujourd’hui la revanche des vaincus islamiques avec la complicité des autorités du Régime.

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