La guerre des bandes ethniques à Dijon, sur fond de trafic de drogue - medias-presse.info

« Maghrébins comme Tchétchènes, par ailleurs tous musulmans et tous criant Allah Akbar, exhibent des armes de poing et des fusils d’assaut pour se défier les uns les autres à Dijon ».

La raison de cette guerre entre bandes ethniques et allogènes : vendredi dernier, dans un des quartiers livrés aux caïds de la drogue à Dijon, un Tchétchène de 16 ans a été attaqué par des nord-africains pour une affaire de trafic de drogue. Il a fini à l’hôpital. Appelés à se venger via les réseaux sociaux, plus d’une centaine de Tchétchènes de toute la France se sont réunis à Dijon, où ils ont été chaleureusement accueillis par les Maghrébins du lieu, dont plusieurs étaient armés de kalachnikovs, d’autres de barres de fer.

Le règlement de compte depuis n’est toujours pas terminé : tirs confus avec des armes automatiques, courses de voitures, incendies, fumée de zone de guerre… Un homme de 38 ans dont l’appartenance ethnique n’est pas dévoilée, a été atteint d’une balle dans le dos et est dans un état critique. Dijon la Pacifique est devenue Dijon l’agressive, pour le plus grand dam des pauvres Français sans histoires qui y vivent ! 

Le Parisien dévoile une note confidentielle d’un service de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), datée du 16 juin,  qui fait état de cette violence organisée. « Ces dernières années, les affrontements entre les Tchétchènes et les autres communautés, principalement d’origine maghrébine, se sont développés », établit notamment le service d’information, de renseignement et d’analyse stratégique sur la criminalité organisée (Sirasco). « Ces conflits relèvent bien souvent du domaine de l’honneur ou résultent d’enjeux clandestins sur fond d’économie grise », explique la note « verte ». Qui souligne que certains membres de la communauté tchétchène faisant dans le banditisme sont « connus pour leur appartenance à la mouvance indépendantiste tchétchène ou pour leur fondamentalisme religieux » musulman.

Et, pendant ce temps-là, Castaner, genou à terre devant les revendications du clan Traoré et de leurs copains d’extrême-gauche, désarme la police et la gendarmerie pour racisme présumé tout en demandant, adepte du « en même temps » de leur patron Macron, à ces mêmes policiers et gendarmes de faire régner l’ordre à Dijon mise à feu et à sang par des bandes ethniques musulmanes et rivales violentes et amplement surarmées. 

Francesca de Villasmundo

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