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La gangrène gagne tout le pays : Cahors victime des violences devenues banales dans une France dénaturée !

« Un mal qui répand la terreur, mal que le Ciel en sa

fureur inventa pour punir les crimes de la terre. »

Ces quelques vers, tirés de la fable « Les Animaux malades de la peste » de Jean de La Fontaine, illustre bien ce qui arrive à notre pays livré, partout, à un ensauvagement d’une rare violence et d’une rare banalité.

Après Aurillac, Clermont-Ferrand, c’est aujourd’hui de Cahors que nous voulons vous entretenir.

Cette belle ville de province tellement défigurée que nos confrères de Fdesouche titrent « Scènes de chaos à Cahors (46) : échauffourées en ville, des hommes cagoulés avec couteaux et battes attaquent le commissariat, la gare et l’hôpital après l’interpellation de deux migrants algériens dont l’un sous OQTF« 

Voici le récit que Totem en fait dans sa parution du 29 octobre :

« Ce lundi 28 octobre vers 18h, une rixe a éclaté boulevard Gambetta à Cahors (Lot) au niveau du lycée Clément-Marot. Les auteurs présumés, tous mineurs selon nos informations, ont été interpellés par la police rapidement dépêchés sur place. Au cours de cette rixe, trois adolescents âgés de 17 ans dont une jeune fille ont été blessés à l’arme blanche et présente des plaies. L’un deux serait plus grièvement blessé. »

« Par la suite durant la soirée, un attroupement composé d’une vingtaine d’individus, certains cagoulés, se sont présentés au commissariat de la ville avec des couteaux et des battes de baseball. La police a dû faire usage de gaz lacrymogène pour les disperser. »

« Ce même groupe se serait ensuite rendu à la gare de Cahors et devant l’hôpital où là encore les forces de l’ordre ont dû intervenir avec l’appui d’une équipe cynophile venue spécialement de Montauban. »

Et voici la réaction de madame le Préfet du Lot, Claire Raullin, qui est « contrainte » de reconnaitre ce qui crève les yeux de Cadurciens depuis bien longtemps :

Sur Facebook, le syndicat Alliance Police Nationale salue le professionnalisme et le sang-froid de leurs collègues confrontés à cette situation.

Malgré l’annonce de madame le Préfet de « l’arrivée d’effectifs de police supplémentaires sur la voie publique aujourd’hui et dans les prochains jours » , nous sommes de plus en plus nombreux à constater que les promesses n’engagent décidément que ceux y croient..

« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés » (Jean de La Fontaine).

Rastignac

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