De temps en temps, justice est rendue. Le pseudo journal d’investigation Mediapart a ainsi été condamné par le TGI de Paris pour ses délires à l’encontre du Conseiller régional Front National d’Ile de France Axel Loustau. Ce faux est d’autant plus grave qu’il avait été repris par l’ensemble des médias dominants durant la campagne présidentielle 2017.

L’affaire remonte au 24 novembre 2014 lorsque Mediapart publia sur son site un long article intitulé Le salut fasciste de l’argentier de Marine Le Pen en s’appuyant sur des images diffusées par la chaîne bobo Canal Plus le même jour. Une photo datant de 2011 servit d’illustration à l’accusation : on y voyait Axel Loustau main levée devant un gâteau d’anniversaire lors d’une soirée privée à l’occasion de ses 40 ans. Il s’agissait en fait d’un salut amical, lorsque l’organisateur de la soirée saluait ses 150 invités.

Ces accusations, mêlant « fascisme » et « adoration du IIIème Reich », s’inscrivent dans une logique de persécution initiée par Mediapart – dont le fondateur et l’extrémiste de gauche Edwy Plenel, ancien candidat de la LCR et dont le père avait été viré de l’Education Nationale pour « menées antifrançaise » –  à l’encontre de la droite nationale. Les images litigieuses avaient été publiée dans le cadre d’une « enquête » à mi-chemin entre le flicage et le procès stalinien (Staline, dont Plenel se plait à porter les mêmes moustaches, quoi que se prétendant trotskiste) sur les anciens du GUD (Groupe union défense) qui entourent Marine Le Pen, notamment Frédéric Chatillon et Axel Loustau.

Le mardi 10 octobre 2017, le TGI de Paris a donc considéré que les « arguments » de Mediapart « ne suffisent pas à prouver qu’il s’agit d’un salut fasciste » et que la « référence au « code » gestuel nazi du pouce replié et de la main tendue demeure de l’ordre de l’interprétation subjective ». Edwy Plenel et la « journaliste » sont donc condamnés à 500 euros d’amende chacun. Mediapart a immédiatement fait appel, demandant au tribunal de « reconnaître la qualité de son travail » (sic !). « Mediapart regrette cette décision et en fait immédiatement appel », a indiqué à l’AFP leur avocat Me Emmanuel Tordjman ». « Je me félicite de cette décision de bon sens, Mediapart avait fait une interprétation absolument subjective », a répondu Me Frédéric Pichon, avocat de la partie civile. Le site E &R soulève par ailleurs un point intéressant : la somme à payer tient compte des revenus de Plenel (un misérable prolétaire gagnant 6.000 euros par mois), ce qui n’est pas le cas, par exemple, pour Alain Soral.

La « journaliste » condamnée pour « diffamation publique envers particulier »  n’est pas n’importe qui. Il s’agit de la fanatique et néanmoins risible Marine Turchi (à ne pas confondre avec l’autre Marine, Tonnelier, en ficelle du même métal), bien connue de ceux qui font de la vigilance patriotique. Sortie de l’Ecole de Journalisme de Lille, et passée par Le Monde et Le Nouvel Obs (deux journaux connus jadis pour leur soutien à Pol Pot), c’est un petit robot bien formaté qui se lance dans la profession, où, comme elle pense correct, elle gagne 3.000 euros par mois pour asséner ses douteuses « vérités ». Amusant de voir sa frimousse en photo, on dirait un clone de Caroline Guillemot-Fourest (au fait, ça fait longtemps qu’on n’a pas eu de dérapages de notre petite pingouine, j’espère qu’elle va bien) ou de Clémentine Autain. « Cheveux longs, idées courtes » chantait Johnny Halliday pour brocarder Antoine. « Cheveux cours, idées courtes » pourrait-on ajouter pour qualifier ce trio de (pas) drôles de dames.  D’elle, le dissident Laurent Obertone déclarera : « Devant l’imperturbable succès de mon livre, la France orange mécanique, les botsjournalistes qui défendent leur utopie contre la réalité sont aux abois. Ceux de Média-tarte se sont mis en quatre, Louise Fessard, Stéphane Alliès, Jérôme Hourdaux et Marine Turchi, pas pour attaquer le livre, non. Pour attaquer son auteur. Pour tenter de me salir. Quand botjournaliste fâché, lui toujours agir ainsi ».

L’affaire Obertone illustre en effet toute la « crédibilité » de Turchi. Détail intéressant, Turchi est – nous l’avons vu, diplômée de l’ESJ Lille, tout comme Laurent Obertone, qu’elle accusa sans preuves d’être le blogueur Le Pélicastre jouiseur… lui-même ancien de l’ESJ Lille…. Elle était donc bien placée pour savoir que ce n’était pas lui. Notons d’ailleurs l’aveu implicite du directeur de cette « estimable », qui affirma à Atlantico ne pas avoir de souvenirs particuliers de Laurent Obertone : « C’était un étudiant comme les autres. S’il avait eu une attitude répréhensible, il n’aurait peut-être pas été diplômé. Ce n’est pas le cas ». Voilà l’explication de l’omniprésence de la gauche dans les médias : les étudiants repérés comme « de droite » sont impitoyablement liquidés…

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Hristo XIEP

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