- Plus de 80 % de catholiques :
2000 (7) : Maranhão, Piauí, Ceara, Rio Grande do Norte, Sergipe, Santa Catarina, Paraiba.
2010 (1) : Piauí.
- Plus de 70 % de catholiques :
2000 (11) : Amazonas, Para, Amana, Tocantins, Pernambuco, Alagoas, Bahia, Minas Gerais, São Paulo, Parana, Rio Grande do Sul.
2016 (8) : Maranhão, Ceara, Rio Grande do Norte, Paraiba, Sergipe, Alagoas, Minas Gerais, Santa Catarina.
- Plus de 60 % de catholiques :
2000 (6) : Acre, Roraima, Mato Grosso do Sul, Goias, Brasilia, Espirito Santo.
2010 (9) : Amana, Para, Mato Grosso, Tocantins, Pernambuco, Bahia, São Paulo, Parana, Rio Grande do Sul.
- Plus de 50 % de catholiques :
2010 (2) : Rondônia, Rio de Janeiro.
2016 (6) : Acre, Amazonas, Mato Grosso do Sul, Goias, Brasilia, Espirito Santo.
- Moins de 50 % de catholiques :
2010 (0)
2016 (3) : Rondônia, Roraima, Rio de Janeiro.
Alors que le Brésil comptait presque 100 % de catholiques en 1960, il ne sont plus désormais que 61 %, la part de protestants étant désormais de 26 % à cause de l’intense propagande américaine, qui a notamment su cibler les stars de la Seleção : Thiago Silva, Alex, Maxwell, Marquinhos, Lucas, Kaka, Marco Cearà (pasteur qui converti au protestantisme son coéquipier au Paris Saint-Germain, le milieu défensif angolais international français Blaise Matuidi)…
Rappelons également le poids de la matrice. En 1964, c’est le poids déterminant des femmes catholiques qui empêcha les communistes de gagner les élections. Pour détruire le catholicisme au Brésil, foyer actif de résistance à la matrice, il fallait « pourrir » la femme brésilienne par le biais de la télévision. Ce fut réussi au-delà de toute espérance… Car n’oublions pas, que ce soit au Brésil en 1964 ou au Chili en 1973, ce sont les femmes qui ont été le fer de lance de la résistance au péril eurasien (péril qui est désormais océanien, ce dernier partageant avec son complice eurasien l’aversion pour les régimes identitaires…
Hristo XIEP
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