Las ! La censure du scientifiquement correct est tombée comme le couperet de la guillotine.
« A sa place, peut-on lire sur le site de France Soir, le choix éditorial du JDD fut de publier une tribune d’un collectif de 7 médecins qui mettaient en garde contre une éventuelle seconde vague et demandait des mesures sanitaires radicales dès ce weekend pour des vacances de la Toussaint sereines. Ces médecins sont parmi ceux que l’on retrouve sur les plateaux de télévision depuis le début de la pandémie Karine Lacombe, Gilbert Deray, Bruno Megarbane. Un choix éditorial aux connotations politiques et sanitaires, perpétuant ainsi le discours anxiogène du gouvernement qui depuis plusieurs semaines est à la recherche d’une hypothétique seconde vague. Rappelons que Laurent Toubiana (un des signataires de la tribune censurée) a déclaré que cette seconde vague était une épidémie de tests. En second lieu, les liens d’intérêts ne sont jamais loin et ces sept médecins ont reçu plus de 432 000 euros des laboratoires dont 222 000 pour la seule Karine Lacombe et 160 000 euros pour Gilbert Deray avec plus 25% des conventions qui ne sont pas renseignées. »
Censurée sur les médias au collier, France Soir a décidé de publier cette tribune exprimant un point de vue différent que celui du gouvernement et de son Conseil de sécurité.
La voici dans son intégralité :
« Dans cette tribune, plus de 250 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Et demandent que l’on évalue nos connaissances réelles pour définir démocratiquement une stratégie sanitaire.
Avis au lecteur : cette tribune devait initialement paraître dans le Journal du Dimanche (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique « Tribune/Opinions », elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l’objet d’un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s’en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d’autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. A 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. Certitude de détenir soi-même la vérité ? Couardise ? Volonté de ne pas déplaire au gouvernement ? Nous ignorons les raisons de cette censure que personne n’a jugé utile (ou tout simplement courtois) de nous expliquer.
Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu’il prétend fondées scientifiquement sur l’analyse de l’épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu’ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.
Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?
Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l’obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.
Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l’ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L’espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.
Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.
On ne compte plus les mêmes choses
Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l’épidémie. Elles ont surtout abandonné l’indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s’étonner du fait qu’on trouve davantage aujourd’hui ce qu’on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.
Les autorités sanitaires ne s’interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu’une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l’INSEE : « depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».
Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d’arrêter l’escalade, d’accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.
Les signataires
Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
Louis Fouché, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception
Olivier Lhoest, médecin anesthésiste réanimateur
Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres
Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
André Comte-Sponville, philosophe
Christian Perronne, chef du service d’infectiologie à l’hôpital de Garches, professeur à l’Université de Versailles Saint Quentin-Paris Saclay
Anne Atlan, directrice de recherche au CNRS, généticienne des populations et sociologue
Alain Wurtz, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
Catherine Gire, chef de service de réanimation, soins intensifs et néonatologie à l’Hôpital Nord de Marseille
Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
Jean-Louis Rouvillain, médecin, orthopédie traumatologie, CHU La Meynard (Fort-de-France)
Jean Bulard, médecin généraliste (Polynésie française)
Marta Barreda González, médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
Laurent Durinck, médecin, anesthésiste
Lisbeth Girard-Claudon, médecin généraliste
Tamara Baron, psychologue à la Maison Centrale de Saint-Martin-de-Ré
Charles Menard, médecin, psychiatre
Françoise Robinson, docteur en médecine (Bron)
Richard Rodriguez, médecin généraliste
Elisabeth Pouffier, médecin généraliste
Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste
Lionel Ferrier, médecin généraliste
Sabine dé Monvallier, médecin généraliste
Didier Montet, docteur en sciences et technologie alimentaire, HDR en biochimie
André Burnol, ingénieur ENSTA Paris, docteur en hydrogéochimie
Arnaud Plagnol, psychiatre, professeur de psychologie à l’Université Paris 8
Isabelle Vinatier, professeur émérite en sciences de l’éducation, université de Nantes
Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille
Pascal Ragouet, professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux
Pascal Roman, professeur de psychologie à l’Université de Lausanne
Bruno Péquignot, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris Sorbonne Nouvelle
Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale à la Sorbonne-Université
Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord
Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes
Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur
Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier en Loire Atlantique
Romain Torrents, médecin hospitalier, pharmacologie clinique, Centre Antipoison et de Toxicovigilance
Laure Farnault, médecin, praticien hospitalier en Hématologie (Marseille)
Thierry Medynski, médecin généraliste
Christophe Leroy, biologiste, docteur en Biologie moléculaire et cellulaire
Béatrice Segurens, chercheuse en génétique et métagénomique au CEA
Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
Alain Deville, physicien, Professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
Cécile Fortanier, docteur en Economie de la Santé, Cadre Hospitalier
Frédéric Schnee, Médecin gériatre coordonnateur en EHPAD
Gilles Perrin, médecin, anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception
Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
Bernard Lamizet, ancien professeur des universités à l’Institut d’Études politiques de Lyon
Alexandra Henrion-Caude, chercheur, ancienne directrice de recherche INSERM
Vincent Pavan, maître de conférences en mathématiques à l’Université d’Aix-Marseille
Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
Hélène Banoun, pharmacien biologiste, docteur en pharmacologie moléculaire
Soizic Noël-Bourgois, infirmière diplômée d’Etat, docteur en ethno-anthropologie
Sophie Dessauvages, aide-soignante diplômée d’État
Monique Lamizet, médecin généraliste
Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste
Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
Alexandra Menant, chercheuse en biologie au CNRS
Philippe Brouqui, médecin, chef du pôle des maladies infectieuses au CHU de La Timone-IHU Méditerranée Infection
Claire Neirinck, professeur émérite de droit à l’Université Toulouse 1 Capitole
Pascal Sacré, médecin, anesthésie-réanimation
Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste
Nicole Roattino, pharmacien hospitalier
Clotilde Branly, sage-femme à l’Hôpital de Sarlat
Brigitte Weiss, médecin généraliste
Hubert Sroussi, médecin généraliste
Valérie Giraud, sage-femme sexologue, Dordogne
Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste (Bourges)
Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
Stéphane Tessier, médecin de santé publique, docteur en sciences de l’éducation
Violaine Guérin, médecin endocrinologue et gynécologue
Alain Le Hyaric, médecin spécialiste Santé Publique (Paris)
Guillaume Barucq, médecin généraliste à Biarritz
Franck Enjolras, psychiatre et docteur en anthropologie (EHESS, Iris)
Claude Gautier, professeur de philosophie à l’Ecole Normale Supérieure (Lyon)
Agnès Florin, professeur émérite de psychologie de l’enfant à l’Université de Nantes
Colette Anné, mathématicienne au CNRS (Nantes)
Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire à l’Université de Caen-Normandie
Hervé Joly, historien, chercheur au CNRS (Lyon)
Bénédicte Helfer, médecin, risques sanitaires majeurs et gestion de crise
Jean Emsallem, médecin angéiologue, enseignant à la Faculté de médecine de la Sorbonne Université
Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
Farhad Khosrokhavar, professeur émérite à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales
Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire à l’Université d’Artois
Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie, Université de Bordeaux
Bernard Lamizet, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à l’IEP de Lyon
Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
Docteur Jean-Pierre Letourneur, médecine, hépatogastroentérologue (Saint-Malo)
Morgane Miegeville, cadre de santé, responsable pédagogique (Paris)
Martine Mérour, médecin pneumologue retraitée
Brigitte Agostini, infirmière libérale (Corse du Sud)
Sybille Burtin-Philibert, médecin spécialiste de Santé Publique
Vincent Reliquet, médecin, Comité Médical AIMSIB (Tourcoing)
Marie-José Minassian, professeur émérite de philosophe à l’Université Paris 8
Bernard Banoun, professeur de lettres à Sorbonne Université
Gérard Ostermann, professeur de thérapeutique, médecine Interne et psychothérapeute
François Gastaud, chirurgien Orthopédiste (Strasbourg)
Alix Moulanier, médecin généraliste
Fouad Daoud, médecin, ostéopathe, psychanalyste
Laurent Sedel, médecin, ancien chef de service en orthopédie à l’hôpital Lariboisière
Jean-Michel de Chaisemartin, médecin psychiatre des hôpitaux honoraire (Finistère)
Patrick Bellier, médecin du sport, pneumologue allergologue (Sainte-Foy-les-Lyon)
Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
Koryna Socha, médecin anatomopathologiste
Jean-François Pascal, médecine, chef de service SSR, gériatre
Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
Rose-Marie Castello, médecin du travail et médecin généraliste (Paris)
Florence Laaziri, infirmière libérale
Véronique Orth-Weyers, médecin généraliste (Fort-de-France)
Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales
Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
Laetitia Gorius, infirmière Diplômée d’Etat
Delphine Rive, médecin généraliste à Rezé
David Esfandi, médecin, psychiatre (Bordeaux)
Nadia Lamm, enseignant émérite à l’Université de Rouen
Paméla Pang, infirmière
Valérie Legrand, infirmière libérale
Nicole Chaudiere, pharmacienne
Mariane Huart, infirmière Diplômée d’Etat et ostéopathe
Véronique Ahari, médecin généraliste (Poitiers)
Éric Ménat, médecin généraliste (31)
Sandrine Thiou, médecin généraliste à Besançon
Patrick Roux, médecin libérale et praticien attaché au CHU de Clermont-Ferrand
Julien Petit, médecin du sport
Serge Rader, pharmacien (Paris)
Arnauld Cabelguenne, pharmacien, Docteur en Toxicologie et Cancers
Marie-Claire Cabelguenne, pharmacien, Coordinatrice MSP du Lectourois (Gers)
Katia Chaussepied, infirmière
Marc Roux, professeur honoraire de Zootechnie
Caroline Gautier, infirmière
Évelyne Gandais, médecin dermatologue
Jérôme Reynier, docteur en psychologie sociale, enseignant en BTS
Michaël Ramain, médecin, ancien Attaché des Hôpitaux de Paris
Roseline Marie, médecin généraliste (Balaruc-les-Bains)
Sébastien Aubert, professeur de génie mécanique à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
Michelle Zancarini-Fournel, historienne, professeur émérite à l’Université de Lyon
Patricia Melot, médecin généraliste
Delphine Pages, médecin généraliste
Sylvie Laval, psychiatre
Lucie Jouvet Legrand, socio-anthropologue, maîtresse de conférences à l’Université de Franche-Comté
Launay-Kong Hélène, infirmière libérale
Bernard Gaillard, psychologue, professeur émérite à l’Université de Rennes 2
Alix Moulanier, médecin généraliste
Philippe Raymond, médecin généraliste (Bourg-en-Bresse)
Murielle Dellemotte, médecin du travail
Sandrine Vansnick, infirmière
Isabelle Aubert, maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
Pascal Lardellier, professeur à l’Université de Bourgogne
Myriam Balsat, médecin généraliste
Vincent Manns, médecin généraliste (46)
Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste
François Alaux, médecin spécialiste à Montauban
Jacques Bassier, médecin nutritionniste
Guy Chapouillié, professeur émérite à l’ENSAV Université Jean-Jaurès
Catherine Schall Pruvost, médecin généraliste
Christophe Robin, médecin généraliste (Bayonne)
Frédéric Barbe, maître de conférences associé à l’Ecole d’Architecture de Nantes
Françoise Auban, médecin généraliste (Marseille)
Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
Pierre-André Bouillet, médecin généraliste
Michel Boudet, médecin généraliste
Nicole Karsenti, médecin, nutritionniste
Michel Soussalin, chirurgien AIHP ACCA des Hôpitaux de Paris
Jean-Baptiste Mouzet, praticien hospitalier, Gériatre, soins de suite
Caroline Mouzet-Heaulmé, Médecin généraliste
Joël Rezzouk, médecin, chirurgien
Sylvie merlier, Docteur en pharmacie
Patrick Sautereau, médecin généraliste, (Caen)
Michel Angles, médecin généraliste, (Rodez)
Sylvie Merlier, pharmacien
Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
Eugenia Lamas, chercheuse en éthique de la recherche biomédicale à l’INSERM
Élisabeth Delaygue Bevan, médecin nutritionniste
Didier Girard, médecin généraliste (Paris)
Véronique Mathevet, infirmière
Bénédicte Dassonville, médecin généraliste (Beaufort-en-Anjou)
Stéphanie Rochet, docteur en pharmacie
Anne Catherine Martin, médecin généraliste (71)
Nathalie Demonté Dubruque, médecin généraliste (34)
Christophe Petiau, médecin, neurologue (Strasbourg)
Nathalie Caradot, médecin généraliste (Sainte-Foy-les-Lyon)
Philippe Laurent, médecin généralist
Michèle Leclerc-Olive, chercheure émérite au CNRS
Michel Joubert, professeur émérite de sociologie à l’Université Paris 8
Marie Pierre Brau Nogué, infirmière clinicienne (Bagnères-de-Bigorre)
Véronique Chevalier, infirmière
Olivier Esteves, professeur de civilisation des pays anglophones à l’Université de Lille
Pierre-Yves Santiago, chirurgien oculaire, Institut Ophtalmologique de l’Oues
Léna Barbancey, infirmière (Anduze)
Ambre Limouzy, infirmière libérale
Pascal Poteri, infirmier
Guillaume du Manoi, médecin généraliste
Pascale Gillot, maître de conférences en philosophie à l’Université de Tours
Jean-Pierre Eudier, chirurgien-dentiste
Paul-André Bellot, médecin généraliste
Ghislaine Nicola Deloffre, médecin généraliste
Florent Gaudez, professeur de sociologie à l’Université Grenoble-Alpes
Philippe Bos, médecin anesthésiste retraité (46)
Christian Lagasse, médecin généraliste (82)
Claire Lenclud, médecin généraliste (38)
Pascale Brun, médecin, acupuncteur
Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue (Amboise)
Pascal Mensah, médecin généraliste
Jeanine Jemet, médecin généraliste
Dominique Carpentier, médecin généraliste (Vallesvilles)
Didier Blanc, professeur de droit public à l’Université de Toulouse
Jean-Pierre Garcia, médecin généraliste (Paris)
Soad Zahaf Leghmizi, psychiatre (Seine et Marne)
Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
Jean-François Bayart, professeur de science politique à l’IHEID
Fanny Morin, médecin généraliste
Isabelle Autonne, médecin généraliste
Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
Michelle Lecolle, enseignante-chercheure en linguistique à l’Université de Lorraine
Sonia Le Floch, médecin généraliste (34)
Dominique Leiber, médecin généraliste
Patrick Guérin, docteur vétérinaire, Président OpenHealth Company
Hélène Palma, maître de conférences en civilisation des îles Britanniques à l’Université d’Aix-Marseille
Nathalie Auger, maître de conférences en Chimie à l’Université de Rennes 1
Emmanuel Froelhy, médecin kinésithérapeute ostéopathe
Claude Veres, médecin, dermatologue (Paris)
Richard Chantal, médecin généraliste (83) »
Francesca de Villasmundo
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