Annonce a été faite du décès ce 30 juin de Simone Veil, née Jacob.

Entrée dans la magistrature comme haut fonctionnaire, elle devient ministre de la Santé, en fait adopter la « loi Veil », promulguée le , qui dépénalise l’avortement devenu par une contorsion du langage « l’interruption volontaire de grossesse ».

On sait moins que c’est également Simone Veil qui fait échouer le projet de retours forcés de 100.000 Algériens par an prôné par Valéry Giscard d’Estaing.

Ensuite, de 1979 à 1982, Simone Veil devient présidente du Parlement européen et reçoit en 1981 reçoit le Prix International Charlemagne. Elle revient dans le gouvernement Édouard Balladur, puis est envoyée au Conseil constitutionnel de 1998 à 2007.

Encensée par le politiquement correct, Simone Veil entre à l’Académie française le 20 novembre 2008, reçue solennellement le  par le versatile Jean d’Ormesson.

Aujourd’hui, c’est un concert unanime de louanges qui s’empare des médias mainstream et de la classe politique, préfigurant un formatage digne de l’opération « Je suis Charlie », sans se soucier aucunement des millions de petites victimes innocentes de la loi Veil.

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