José Antonio, fondateur mouvement nationaliste d’esprit chevaleresque, la PHALANGE ESPAGNOLE
On sait que l’arrivée au pouvoir du Frente Popular (« Frente Crapular » comme disent les vrais Espagnols non reniés) et de sa République vomit l’Enfer sur les terres catholiques de la sainte Thérèse la Grande. Pour garder l’espérance au cœur des catholiques espagnols, il fallut José-Antonio et sa Phalange d’abord, Francisco Franco et sa Croisade ensuite. Ces deux grands hommes ont d’ailleurs tous deux été rappelés à Dieu un 20 novembre.
Fierté du Catholicisme d’esprit thomiste d’abord, orgueil du Nationalisme ensuite, JOSÉ ANTONIO (24 avril 1903 – 20 novembre 1936) n’entra en politique que pour défendre la mémoire de son père, le dictateur Miguel Primo de Rivera. La réflexion ensuite, par le rejet de la doctrine mortifère du philosophe français Rousseau, le poussera à vouloir retrouver, pour sa nation, la grandeur de l’Espagne d’Isabelle la Catholique et de Charles Quint, en fondant un mouvement nationaliste d’esprit chevaleresque, la PHALANGE ESPAGNOLE. Capturé à son domicile par les rouges, José Antonio sera hélas condamné à mort et fusillé au petit matin du 20 novembre1936.
Chaque 20 novembre, entre 2004 et 2013, Monsieur l’abbé Xavier Beauvais prononça de vibrantes homélies aux glorieuses et chrétiennes mémoires du Caudillo et du fondateur de la Phalange, en l’église Saint-Nicolas du Chardonnet, à Paris. Le Cercle Franco-Hispanique eut donc la bonne idée d’éditer ces textes.
La Croisade du Caudillo ne s’est pas levée pour le simple choix de faire un putsch militaire et la Phalange espagnole n’a pas été fondée pour faire le coup de poing contre les masses ouvrières marxistes les jours de grève… Ces deux mouvements apparurent pour redonner à l’Espagne son véritable sens : « (…) être autre dans l’Universel (…) accomplir un destin qui n’est pas celui des autres nations » (José Antonio), bref il s’agissait de retrouver la grandeur des beaux jours de l’Empire de Charles Quint.
Pour cela, il fallait au préalable pratiquer « la dialectique des poings et des pistolets » contre le péril marxiste… Un prélat espagnol, ami de la cause phalangiste comme la plupart des prêtres espagnols en 1936, donnait cette belle explication de la nécessité de la Phalange et de la Croisade : « Quand la substance de la légalité est l’injustice, il reste à la conscience et à l’action, comme unique recours de chercher la justice dans la légitime illégalité. » La France aujourd’hui, comme l’Espagne de 1934 date de fondation de la Phalange, répond OUI.
Lors de son procès, José Antonio se plaignit que ses accusateurs ne cherchèrent même pas à comprendre son mouvement. C’est justement pour comprendre ce nationalisme espagnol, à la fois doctrinaire et poétique, que fut le rêve de José Antonio, que notre ami Herbé présentait ce topo devant une section du mouvement français Les Nationalistes.
Parmi les ouvrages que consulta Herbé pour ce topo, il faut relever la plaquette éditée en 2014 par le Cercle Franco-Hispanique : « José Antonio Primo de Rivera, Francisco Franco, PRESENTE ! »
Ce document est la retranscription en images de son discours du 2 juin 2024.
Chapitres de la vidéo :
José Antonio, Franco et Bucard
Le contexte : les crimes des rouges en Espagne à compter de 1936
José Antonio, Franco, Bucard et Sidos
Histoire de la création d’un chant : « Cara al Sol »
José Antonio avant 1933
Fondation de la Phalange : le discours du Chef (29 octobre 1933)
Définition phalangiste de la nation
La Phalange : refus de l’idéologie libérale rousseauiste
Chant « En Pie Camaradas ! »
José Antonio et la révolution
Ramiro Ledesma Ramos : « le national-bolchevique »
Le testament de José Antonio
Conclusion : et maintenant ?
La vidéo :
Nous vous en souhaitons une bonne écoute.
La chaîne des Chevaliers de Notre-Dame : https://odysee.com/@lanouvellechevalerie:c
Fabien LAURENT
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !