Selon un sondage, la moitié des électeurs américains ont des doutes sur les capacités psychophysiques réelles du président Joe Biden. Et maintenant, ils se demandent s’il est apte à remplir un rôle aussi délicat.

La moitié des électeurs américains potentiels craigne pour la santé mentale du président Joe Biden. Le chiffre ressort d’une enquête publiée par Rasmussen Reports, selon laquelle le nouveau locataire de la Maison Blanche ne serait pas « physiquement et mentalement à la hauteur de la tâche ». 50 pour cent des participants à l’enquête ont exprimé de sérieux doutes sur la santé du président des Etats-Unis, tandis que 48% auraient confiance en ses capacités.  

Les doutes de la plupart des citoyens américains seraient dictés par une série d’épisodes qui ont sonné l’alarme concernant l’état psychophysique de Biden. Tout d’abord, l’absence de confrontation avec la presse présidentielle, entrée dans un « silence officiel » de 50 jours à partir du 20 janvier. Depuis son entrée en fonction à la Maison Blanche, Joe Biden n’a pas encore publié de conférence de presse, ce qui a soulevé de la perplexité et de l’ inquiétude quant à la raison de cette décision. Aucun président dans l’histoire de la présidence américaine n’était resté à l’écart de la presse pendant si longtemps, et maintenant les électeurs se demandent pourquoi.

Ces derniers mois, les médias conservateurs n’ont pas manqué de souligner les gaffes du président, qui est récemment devenu le protagoniste de certains épisodes décidément bizarres. Ces derniers jours, l’état-major présidentiel a soudainement interrompu une émission en direct sans aucun avertissement, au moment même où les journalistes posaient des questions au président, comme pour le tenir à l’écart d’éventuelles «glissades». Le 9 mars, Biden redevint le protagoniste d’une gaffe, ou plutôt d’un moment d’amnésie. Lors d’un discours à l’occasion de la Journée internationale de la femme, Biden, dans l’embarras général, ne semble même pas se souvenir du nom du secrétaire à la Défense Lloyd Austin. « Je tiens à remercier… l’ancien général, je continue de l’appeler« général ». Mon… mon… le gars qui dirige ce groupe là-bas », a déclaré le président dans une confusion évidente, définissant Austin comme « le gars en uniforme ». Les rumeurs d’une forme de démence du président des États-Unis ont caractérisé tous les mois qui ont précédé son élection, mais Biden a toujours fait taire les bavardages et les blagues à son sujet, affirmant qu’il souffrait d’une forme de dyslexie.

Souvenons-nous qu’en décembre 2020, Joe Biden avait fait une plaisanterie douteuse en déclarant qu’il feindrait la maladie et démissionnerait, si jamais un désaccord moral profond survenait entre lui et Kamala Harris, sa vice-présidente. « « Si nous en arrivons à un désaccord fondamental, basé sur un principe moral, je développerai une maladie et je dirais que je dois démissionner », avait-t-il lâché à l’époque. Déjà auparavant, il avait plaisanté en se disant « le colistier de Kamala ». « Vous croyez que je plaisante ? » avait-il ajouté devant ses partisans interloqués.

Kamala Harris, plus progressiste que Biden, serait en effet pour le deep state un atout majeur. En insistant sur la santé mentale fragile de Biden, il est fort probable que les médias préparent dès à présent le terrain à une possible démission en cours de mandat, et l’opinion publique à l’accepter.

Francesca de Villasmundo

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