Les Jeux Woke de Paris, 2024
Les Jeux Woke de Paris, 2024

Un célèbre écrivain français après une jeunesse de débauche commit, à la suite de sa conversion au catholicisme un beau roman Les jeux de l’Enfer et du Ciel. L’enfer, Henri Ghéon le connut dans sa vie libertine, le Ciel il en avait l’Espérance avec sa foi de catholique. De la cérémonie des Jeux Woke parisiens, seul l’enfer était au rendez-vous. Du Communiqué de la Conférence des évêques de France, publié le lendemain pour « déplorer » certaines scènes de dérision et de moquerie du christianisme, le Ciel en était absent.

Des Jeux Woke, idéologiquement arc-en-ciel et christianophobes

La cérémonie d’ouverture des J. O. 2024 qui se déroulent actuellement à Paris restera, il est vrai, dans les annales, en raison non de ses quelques rares tableaux qui pouvaient être esthétiquement réussis, mais à cause de l’ensemble idéologiquement woke, trash, queer, et christianophobe. Sataniste en un mot.

Un spectacle qui a, et il faut s’en féliciter, poussé nombre de personnes, chrétiens mais aussi en-dehors de la sphère chrétienne, à réagir publiquement et à le dénoncer durement. Les réactions de dégoût devant cette débauche lgbtqi+ etc. de mauvais goût, vulgaire, et surtout blasphématoire, ont été internationales, venant des « grands » de ce monde tels Donald Trump, Mgr Strickland, Elon Musk ou Vladimir Poutine, de certains ‘politiques’ européens, classés à droite majoritairement, comme Alain Escada, Matteo Salvini, Marion Maréchal, de simples prêtres et fidèles catholiques. Notons cependant que même le Che Mélenchon a condamné la scène outrageante de la “Cène”.

Des chaines de télévisions, dans le monde arabe mais aussi NBC, principal diffuseur des Jeux Olympiques depuis 1988 aux États-Unis, ont censuré les passages les plus extrêmement infâmes, innommables, nauséabonds, Marie-Antoinette tenant sa tête dans les mains, la quasi-nudité de Philippe Katerine, les drag-queens à barbe, le tableau queer dont la mise en scène rappelait celle de la Cène… Le monde « d’avant », le monde normal, s’est levé pour dire sa colère, à tel point que le twitter du Comité International Olympique a supprimé la vidéo de cérémonie d’ouverture de ces Jeux Woke de son compte. Certains peuvent arguer que cette décision a été prise en raison des droits d’auteurs, les précédentes cérémonies étant toujours accessibles à tous sur You Tube, l’excuse semble cousue de fil blanc.

La réaction minable et lâche de la Conférence des Évêques de France

Mais quelle fut la réaction de la Conférence des Évêques de France ? A la hauteur de leur servilité à Notre Temps apostat. Pusillanimes, lâches, poltrons, après avoir encensé, -eux qui ne savent plus encenser l’autel du sacrifice-, « la cérémonie d’ouverture » qui « a offert hier (vendredi) soir au monde entier de merveilleux moments de beauté, d’allégresse, riches en émotions et universellement salués », les prélats Français, dans leur communiqué, ont tout juste, pas plus, – ils s’en voudraient ces mondains mitrés et crossés d’être taxés d’exaltés de la Croix- « déploré » les « scènes de dérision et de moquerie du christianisme ».

Que cela est bien dit, posément, gentiment, sobrement, discrètement, pudiquement, en peu de mots ! Ne nous fâchons surtout pas avec ces satanistes aux commandes, après tout il faut vivre avec son temps, n’est-ce pas là la morale de l’histoire conciliaire dont ils sont les acteurs premiers ? Et puis François à la parole si inclusive envers toutes les transgressions ne dit rien, se tait, encore… Il ne faudrait pas dire, même si c’est pour défendre l’honneur du Christ outragé, quelque chose qui pourrait lui déplaire. Quand on est couard, on l’est en tout, pour tout et avec tous… sauf avec les vrais Catholiques. Mais ces derniers ont contre eux le monde entier des puissants mondialistes, des médias au collier, des paillettes et des influenceurs de pacotilles, ce n’est donc pas très difficile de les attaquer.

De la cérémonie des Jeux Woke parisiens, seul l’enfer était au rendez-vous. Du communiqué de la Conférence des évêques de France, le Ciel en était absent. Encore une fois, les Évêques de France de cette Église conciliaire ouverte sur le monde et oublieuse des droits de Dieu ont montré ce qu’ils valent. Une bande de lâches infidèles…

Francesca de Villasmundo

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