Pas de trêve pour la pression arc-en-ciel sur Sainte Marthe : pendant que se déroule le synode sur la synodalité, qui se profile dès le commencement comme un grand moment de toutes les ouvertures inclusives, François reçoit dans sa résidence du « pauvre », la militante de la cause homosexuelle, la ‘religieuse’ Jeannine Gramick.
Jeannine Gramick a été condamnée en 1999 par la Congrégation pour la doctrine de la foi pour avoir « semé la confusion » sur les questions homosexuelles
Le gay-friendly pape Bergoglio, -gay-friendly il l’est certainement, trop de rencontres avec des militants de la cause arc-en-ciel en témoignent- a reçu la ‘religieuse’ militante homosexualiste Jeannine Gramick avec son équipe pour une réunion de 50 minutes, à Sainte Marthe, le 17 octobre dernier. C’était leur première rencontre. En 2021, le pape noir, dans une lettre manuscrite, l’avait déjà « remerciée » pour ses 50 ans de « proximité, compassion et tendresse » et l’avait qualifiée de « femme vaillante ». Francis DeBernardo, directeur exécutif de NewWaysMinistry, Ministère des Nouvelles Voies, qui a décrit la réunion comme une affirmation de la propagande homosexuelle de Gramick, était également présent.
Gramick est célèbre pour sa propagande homosexuelle depuis des décennies. Elle a été condamnée en 1999 par la Congrégation pour la doctrine de la foi pour avoir « semé la confusion » sur les questions homosexuelles.
NewWaysMinistry.org, site de propagande lgbtqi+ fondé par la sœur en question, a écrit que Gramick a remercié François pour son « ouverture » concernant la « bénédiction » des duos homosexuels. Dans un article relatant la rencontre « autrefois inimaginable », NWM juge, et peut-on lui donner tort, que « cette réunion est remarquable car elle reflète l’acceptation constante des responsables catholiques des questions et du ministère LGBTQ+. Les papes et dirigeants d’églises précédents se sont opposés à Sœur Jeannine et au ministère des Nouvelles Voies. Cette réunion représente désormais une nouvelle ouverture à l’approche pastorale et de recherche de justice que Sœur Jeannine et son organisation pratiquent depuis longtemps. »
L’Eglise conciliaire néo-moderniste et néo-protestante donne naissance à sa fille naturelle, l’Eglise post-concile arc-en-ciel
Cette dernière est arrivée avec sa huche de cadeaux : « Sœur Jeannine, co-fondatrice de New Ways Ministry, a apporté les salutations au pape François de la part des catholiques LGBTQ+ de l’église américaine. Elle l’a remercié pour son ouverture à la bénédiction des unions homosexuelles, ainsi que pour son opposition à la criminalisation des personnes LGBTQ+ dans la société civile. »
Le temps du pape François aura été définitivement celui de l’évolution d’une Eglise conciliaire néo-moderniste et néo-protestante à sa fille naturelle, une Eglise post-concile arc-en-ciel :
« Nous devons prendre actes que les métastases de ce « pontificat » proviennent du cancer conciliaire, de ce Vatican II qui a créé les bases idéologiques, doctrinales et disciplinaires qui devaient inévitablement conduire à ce point. » (Mgr Viganò).
Francesca de Villasmundo
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Ces dérives sont scandaleuses ! Certes, le péché d’homosexualité a toujours existé et certaines personnes se trouvent plus filles que garçon ou l’inverse, mais qu’un présumé successeur de Saint Pierre rencontre officiellement une pècheresse non repentie et militante plutôt qu’une véritable religieuse est inadmissible et contraire au bon sens, à la doctrine et aux intérêts des âmes , cela détruit l’Eglise de l’intérieur, dans la confusion et donne accès aux fausses religions qui continuent, intransigeantes, comme l’Islam conquérant, à condamner les comportements déviants.
Entièrement d’accord avec vous
Le courage de cette femme est indiscutable mais la Société Civile est une chose et l’Eglise Catholique en est une autre fort différente : on y a droit au pardon des fautes mais les fautes (surtout la faute abominable) restent fautives
Quelle différence avec la religieuse qui a plaqué au sol un pseudo ecolo en Ardèche…