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29 septembre 1960 : « L’Internationale Homosexuelle » par la Comtesse Rosa Waldeck dans Human Eventspar Francis Goumain 29 septembre 2024 dans Histoire, Idées 13

Nous donnons ci-après la traduction de l’incroyable article de la comtesse Rosa Waldeck dans le numéro de Human Events du 29 septembre 1960, benoîtement intitulé « L’Internationale Homosexuelle ».
La comtesse Waldeck, titulaire d’un doctorat de l’université d’Heidelberg et citoyenne américaine, est écrivaine politique et romancière. À l’époque de la République de Weimer, en tant que Frau Ullstein (de la célèbre famille d’éditeurs de magazines), elle était réputée pour son esprit et sa beauté (certains la considèrent comme « la Clare Luce de l’époque »). (Parmi ses livres, les plus connus il y a « Europe Between the Acts. » (L’Europe à la croisée des chemins) « Athene Palace » et « Lustre in the Sky. » (Le Bleu du Ciel)
Vol. XVn, No. 39 — Section HUMAN EVENTS September 29, 1960
L’INTERNATIONALE HOMOSEXUELLE
De R. G. Waldeck
Ainsi, presque par inadvertance, l’attention du public a été attirée sur un problème extrêmement grave et d’une ampleur insoupçonnée, à savoir l’invasion de la vie politique américaine par « les hommes de Sodome » (Genèse 13:13).
La réaction du grand public à cette nouvelle sensationnelle est allée de la saine indignation – souvent à caractère religieux – à une attitude de « tolérance » qui se voulait pseudo libérale. Cependant, peu de gens ont pris la peine d’examiner en profondeur les faits. Même ceux qui ont mis en garde contre les sérieux risques que représentaient les homosexuels pour la sécurité, l’ont fait au seul motif que leur sexualité déviante les exposait à toutes sortes de chantages.
Aussi valable que soit cet aspect du problème, il reste relativement mineur. En réalité, la principale raison pour laquelle, à ce stade de l’histoire, le renvoi des homosexuels de toutes les agences gouvernementales et en particulier du Département d’État est d’une urgence vitale, c’est que, de par la nature même de leur vice, ils ont tendance à se regrouper au sein d’une sinistre Internationale du mal, aussi secrète que puissante.
Soudés par leur penchant commun, leurs coupables désirs, leurs habitudes déplorables, les dangers auxquels ils s’exposent, sans parler du vocabulaire outrancier qu’ils utilisent entre eux, les membres de cette Internationale constituent une conspiration mondiale contre la société. Cette conspiration s’est répandue sur toute la planète, a pénétré toutes les classes, opère dans les armées et dans les prisons, s’est infiltrée dans la presse, le cinéma et les cabinets, et domine pratiquement les arts, la littérature, le théâtre, la musique et la télévision.
Et voici pourquoi les homosexuels de nos administrations en sont venus à constituer un péril mortel dans la lutte actuelle entre l’Ouest et l’Est : les membres d’une conspiration sont enclins à rejoindre une autre conspiration. C’est une des raisons pour lesquelles tant d’homosexuels, d’ennemis de la société en général, deviennent des ennemis du capitalisme en particulier. Sans être nécessairement marxistes, ils servent les objectifs de l’Internationale communiste au nom de leur rébellion contre les préjugés, les normes et les idéaux du monde « bourgeois ». Une autre raison de l’alliance homo-communiste est la passion insatiable de l’intrigue pour l’intrigue, si inhérente à la personnalité homosexuelle. Une troisième raison est la promiscuité qui règne au sein cette minorité, promiscuité qui transcende les classes sociales et fusionne en une seule la corruption de la classe supérieure et celle du prolétariat.
Subversion Politique SODOM a toujours fait partie de l’arène politique. Bien avant l’existence d’une Internationale, les intrigues homosexuelles – parfois à l’échelle internationale – ont animé les annales (Sic) politiques et diplomatiques. Je ne citerai que la liaison de Jules César avec le roi Nicomède de Bithynie, qui a beaucoup plus passionné ses contemporains que celle avec Cléopâtre. Pour paraphraser une remarque de Marcel Proust, l’amour des hommes a conduit César à la virilité et la virilité à la gloire – tout comme il l’a fait ensuite pour d’autres personnalités extraordinaires, telles que Richard Cœur de Lion et Frédéric le Grand. Il y a eu le règne des « mignons » qui a causé la perte d’Henri III, dernier des Valois, et la camarilla homosexuelle autour de « Monsieur », le frère de Louis XIV. Il y a aussi eu l’agent diplomatique de Louis XV, l’ambigu Chevalier d’Éon qui, se présentant alternativement en habits d’homme et de femme, a œuvré un certain temps à Saint-Pétersbourg comme lecteur féminin d’Élisabeth de Russie pour se présenter plus tard en éphèbe adorateur de Frédéric le Grand à Potsdam.
Mais c’est l’affaire du Prince Eulenburg qui restera comme le grand scandale du début du XXe siècle, celui qui aura fait prendre conscience au public du poids et de l’influence de la communauté homosexuelle dans la politique. Le pot aux roses est révélé de façon tonitruante en 1906 par Maximilian Harden dans Die Zukunft [la propre publication d’Harden]. Ses articles surprenants à l’origine de cette célèbre affaire allemande accusaient le prince « Phili » Eulenburg, le favori du Kaiser, de former sur les marches mêmes du trône, avec sa clique d’amis homosexuels, un « État dans l’État, un gouvernement contre le gouvernement ». « Il existe, affirme Harden, deux politiques, la politique officielle et la politique secrète d’Eulenburg. La politique de ce dernier est inspirée, insiste-t-il, par l’homosexuel chargé d’affaires français à Berlin et vise à affaiblir la position allemande.
Harden pouvait écrire comme un ange vengeur lorsqu’il était en colère, et il était très en colère. Admirateur de feu le prince Bismarck, il était horrifié par la détérioration rapide du puissant Reich forgé par le « chancelier de fer » et pensait avoir trouvé la clé de cette déchéance: la vie publique allemande était truffée d’homosexuels dans tous les secteurs et au plus haut échelon, de fait, le scandale d’Eulenburg a été précédé et suivi par d’autres affaires retentissantes impliquant de grands aristocrates, des généraux, des industriels, dont beaucoup appartenaient au cercle des intimes de l’empereur. D’où : Sodom delenda est ! Il fallait évincer les homosexuels de tous les postes influents. Aucun État – Harden en était convaincu – n’étant assez fort pour résister à leur influence corrosive.
[FG: Waldeck ne le précise pas, mais Harden était Juif comme elle, les Juifs aussi étaient particulièrement bien introduits auprès du Kaiser, Harden fait mine de ne pas remarquer leur influence – tout aussi délétère pour le Reich – pourtant, c’est probablement sa qualité de Juif qui lui a permis d’avoir accès à des informations aussi sensibles sur l’entourage du Kaiser et lancer son travail de sape du pouvoir et des institutions allemandes]
J’étais une jeune enfant en Allemagne lorsque, après des mois d’attaques de ce genre, le prince Eulenburg s’est vu contraint de poursuivre Harden pour diffamation, mais je me souviens encore parfaitement du choc que cela a représenté pour l’opinion publique lorsque, à la surprise générale, car personne ne pouvait croire à ses accusations, Harden triomphait au tribunal. Ceci, non seulement marquait la culpabilité d’Eulenburg, mais venait en outre éclabousser le Kaiser au point d’en faire l’« affaire du collier » du Second Reich, non pas que Guillaume II ait jamais été suspecté de faire partie de Sodome, mais ses affinités douteuses seront considérées comme une manifestation de la dépravation générale qui devait déboucher sur la tragédie de la Première Guerre mondiale.
Le Lien Qui ObligeIl existe plusieurs théories sur l’origine de l’homosexualité. Certaines l’attribuent à une prédisposition glandulaire, d’autres à une prédisposition héréditaire. Selon la psychologie moderne, l’homosexuel est victime d’une interruption du développement affectif qui ne lui permet pas de sublimer une expérience infantile d’identification et de jalousie à l’égard de la mère. Tous s’accordent à dire que, au fur et à mesure que l’élément féminin marque, plus ou moins profondément, ses gestes, ses contours, sa voix, un réseau inextricable de haines sourdes, de frustrations, de sentiments d’infériorité et de culpabilité se développe dans son âme humiliée.
En d’autres termes, l’homosexuel serait un être malheureux et instable, même s’il n’était pas contraint de « vivre dans le mensonge et le parjure » (Marcel Proust). Mais l’opprobre et les dangers qui pèsent sur lui ajoutent encore à son instabilité. Plus ou moins consciemment, il hait une société qui le fait se sentir « différent » et qui, jugeant ses désirs profonds honteux et punissables, l’oblige à les dissimuler, à les nier, à les camoufler.
Harden avait compris que cette vulnérabilité aux multiples fondements faisait de l’homosexuel un sérieux risque pour la sécurité. Il avait également pressenti ce facteur aggravant, à savoir que les lois mystérieuses qui régissent cette partie maudite de l’humanité sont plus contraignantes pour ses membres que n’importe quelle loyauté nationale, spirituelle ou sociale. Avec une ténacité toute maccarthyste, Harden dénonçait l’existence d’une conspiration homosexuelle internationale qui gangrenait l’État. À l’époque où il écrivait ces lignes, il s’agissait d’une exagération, mais qui préfigurait une réalité à venir pas si lointaine.
En fait, l’Internationale homosexuelle n’a commencé à réellement gangrener l’État qu’à partir des années 1930. Jusque-là, elle ne faisait que grignoter. J’ai sous les yeux des notes que j’ai prises il y a des années sur cette phase de grignotage. Encore très novice en politique, j’ai été stupéfaite de découvrir que dans les affaires internationales on serait beaucoup plus inspiré de « Chercher l’homme » que de « Chercher la femme ».
J’observais avec fascination tous ces petits sodomites s’activer dans les ambassades et les bureaux à l’étranger. Ils semblaient toujours s’agglutiner à la douzaine, non pas qu’ils revenaient moins chers ainsi, mais plutôt parce que tel ou tel ambassadeur, chargé d’affaires ou sous-secrétaire d’État homosexuel aimait à s’entourer d’une « équipe » avec laquelle il partageait ses affinités. Une autre raison est que les homosexuels sont solidaires et se soutiennent. « Bon sang, c’est à croire que pour faire carrière, il faut être anormal ». C’est ainsi que le baron Holstein, éminence grise de la Wilhelnastrasse, commentait les révélations d’Harden sur ce réseau d’influences directes et indirectes à l’aide duquel ils propulsaient les leurs membres aux postes importants.
Les limites de cet article ne permettent pas de citer des noms et des lieux. D’un point de vue historique c’est bien dommage tant le « Cherchez l’homme » est la clé de nombreux événements de politique internationale que les journaux ne parviennent pas à élucider.
Pourquoi tel pays capitaliste a-t-il eu une telle influence sur la politique de tel pays révolutionnaire ? Parce que le très aristocratique ambassadeur du pays capitaliste était homosexuel, tout comme le ministre des affaires étrangères du pays révolutionnaire, et que leur entente cordiale transcendait les idéologies. Pourquoi telle conférence bilatérale sur le commerce qui semblait désespérément enlisée a-t-elle soudainement repris vie ? Parce que l’homosexuel à la tête d’une des deux délégations, pour plaire au représentant homosexuel de l’autre, a décidé de sacrifier certains intérêts particuliers de son pays au profit d’une meilleure entente avec le pays étranger. Il y a eu de nombreux cas de ce genre, plutôt profitables et pacifiques finalement, mais en politique, il est toujours sage de se méfier d’une puissance, non parce qu’elle est dangereuse, mais parce qu’elle pourrait le devenir.
Que l’Internationale homosexuelle puisse devenir dangereuse aurait dû être évident pour quiconque a eu l’occasion d’observer la manière mystérieuse dont les homosexuels se reconnaissent entre eux – par un regard, un geste, un timbre de voix indéfinissable – et l’étonnante compréhension que cette reconnaissance crée entre des hommes qui semblent être socialement ou politiquement aux antipodes l’un de l’autre. Certes, d’autres internationales sont mieux organisées et s’expriment mieux. « Mais qu’est-ce que la force unificatrice de la race, de la foi, de l’idéologie, comparée à la force unificatrice d’un vice qui lie intimement le magnat de la presse au mendiant, le gibier de potence à l’ambassadeur, le général au garçon d’étage ?
Homosexualité et Communisme
mais si vous avez le malheur d’accabler cet homme vous ^portez atteinte aux droits des LGTB .Vers quoi allons -nous ?