Fin août, le Japon a suspendu l’injection expérimentale à ARNm Moderna à cause de contaminations inconnues. Aujourd’hui, ce sont des lots de l’injection Pfizer qui se trouvent incriminés.
Le ministère de la Santé japonais avait lancé une enquête à la suite de la mort de deux hommes (de 30 et 38 ans) en août ayant reçu des injections du ‘vaccin’ Moderna provenant de lots qui présentaient des impuretés. Des régions du Japon avaient alors suspendu les injections, soient plus de 2,6 million de doses, après avoir découvert d’autres lots contaminés. La nature des particules découvertes dans les flacons, qui ont été fabriqués par un sous-traitant de Moderna en Europe, n’est pas encore connue. Cependant, la chaîne japonaise NHK, de source ministérielle, avance que la substance étrangère incriminée serait de nature métallique. Les médias japonais avaient également mentionné que les substances « réagissent aux aimants », informations que les médias mainstream occidentaux s’étaient bien gardé de dire.
C’est un pharmacien, Mr Ishii qui a inspecté 290 flacons et découvert la substance dans le vaccin Moderna :
« de fines particules noires de 1 mm visibles à l’œil nu, attachées au bord inférieur du récipient. Il y avait des particules fines et plates… »
En ce milieu du mois de septembre, The Japan Times révèle que « des corps étrangers ont été trouvés dans cinq flacons inutilisés de vaccin COVID-19 de Pfizer Inc. dans deux villes près de Tokyo et une dans la préfecture d’Osaka ». Ce sont les gouvernements locaux qui ont annoncé cette nouvelle. Des substances blanches ont été découvertes.
L’article poursuit :
« Les flacons contenant une matière blanche flottante appartiennent au même lot, FF5357, selon les villes de Sagamihara et Kamakura, toutes deux dans la préfecture de Kanagawa, et Sakai dans l’ouest du Japon. Les trois villes ont demandé à Pfizer d’analyser les substances.
« Les contaminants ont été découverts sur trois sites de vaccination à Sagamihara entre samedi et mardi, un site à Kamakura dimanche et un site à Sakai mardi. Les trois villes ont déclaré ne pas avoir utilisé les doses contenant les matières étrangères tout en continuant à administrer des doses portant le même numéro de lot qui ont été confirmées non contaminées. »
Après les graves effets secondaires répertoriés, ces contaminations qui témoignent entre autre du peu de sérieux des laboratoires dans l’élaboration de ces injections, rendent la vaccination quasi obligatoire imposée par le passeport sanitaire dans de nombreux pays encore plus criminelle. D’ailleurs, l’on peut se demander s’il n’est pas étrange que seul le Japon évoque des contaminations et si elles ne seraient tout simplement pas occultées en Europe par une Union européenne vendue à Big Pharma et une presse aux ordres…
Francesca de Villasmundo
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