De l’ignoble impunité pour les violeurs de la jet-set, nous passons à la traque forcenée du mâle occidental. Et parmi ceux qui pourraient en faire les frais, figure un certain Bond, James Bond, agent 007.
Les harpies féministes qui ont investi le mouvement #MeToo deviennent castratrices. Comme une nouvelle version du MLF (mouvement de libération de la femme) soixante-huitard aux commandes duquel on trouvait un grand nombre de lesbiennes gauchistes. Sur les réseaux sociaux, #MeToo donne désormais l’occasion à certaines de dénoncer le célèbre agent secret. James Bond serait abominablement machiste et sexiste !
Ce n’est pas la première fois que James Bon est la cible du politiquement correct. Les partisans du tout au multiculturalisme trouvaient l’agent 007 trop blanc et tentent depuis quelques années d’obtenir que ce héros écossais deviennent… noir.
D’autres, du côté féministe, estiment qu’il est temps que 007 devienne… une femme.
Que seront les prochaines revendications ? Que 007 devienne une femme noire lesbienne ? Ou un transgenre vegan ?
Comme le déclarait Jean-Philippe Costes, auteur d’un essai intitulé Le monde selon James Bond, « Dans son ADN, James Bond est un personnage foncièrement viril, machiste et dominateur. Si vous enlevez un élément à cet ADN, vous n’avez plus Bond.«
En attendant, les starlettes de toute la planète rivalisent pour obtenir un rôle de James Bond girl. Elles se pressent sur les tapis rouges des galas cinématographiques dans des robes de plus en plus échancrées et transparentes. Puis se plaignent du regard des hommes. Allez comprendre.
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