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IVG – L’Assemblée se prépare ce soir à généraliser un peu plus le génocide de l’avortement.

 

Les députés se préparent à voter ce soir une disposition « confortant le droit à l’interruption de grossesse en France. »  Il s’agit tout simplement de diffuser un peu plus une « culture de mort »  en se donnant les moyens « légaux » de généraliser un peu plus le génocide de l’avortement.

Sans surprise mais avec un total mépris de la Vie et des dizaines de milliers de français qui se sont exprimés ce week-end lors de la Marche pour la Vie,  la gauche, l’extrême gauche et l’UMP font bloc, formant une sorte « d’union sacré » pour valider cette mesure idéologique et mortifère.

Rares exceptions:  Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate et membre de l’Entente parlementaire pour la Famille, Nicolas Dhuicq, Philippe Gosselin, Marc Le Fur ou Isabelle Le Callennec.

Et Jean-François Copé qui  de son coté qualifie cette velléité gouvernementale « d’idéologique » et se  demande publiquement «Pourquoi changer aujourd’hui la loi sur l’avortement ? Pour faire de l’idéologie (…) Pour banaliser l’avortement».

Les débats s’accélèrent, le gouvernement voyant sans doute là l’occasion de resserrer sa majorité autour d’une mesure purement idéologique, l’article qui supprime la notion de «détresse» pour avoir recours à l’IVG, devrait être examiné ce soir.

Christian Jacob président du groupe UMP à l’Assemblée a parlé  de  position «quasi unanime» de son groupe en faveur de cette loi . Son groupe rejoignant donc une fois de plus les rangs serrés de la gauche .

Il faut néanmoins signaler l’initiative de seize députés du groupe UMP en faveur d’un déremboursement de l’IVG.

De son coté, Marion Maréchal-Le Pen (FN) demande très banalement le maintien du «garde fou» de la notion de «détresse».

Jacques Bompard (Ligue du Sud), tout à son honneur,  estime que: «la loi abandonne l’enfant à naître à un infanticide prénatal banalisé». Cette position reflète,  le bon sens et le sens des réalités d’un député proche du peuple.

Quant à Najat Vallaud-Belkacem,  elle multiplie sans surprise les provocations en insistant sur «le rôle de la France qui choisit de réaffirmer ce droit à l’IVG dans une Europe tentée par le retour en arrière».

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