Le 2 janvier, à Cona, dans la province de Vénétie en Italie, dans un centre d’accueil a éclaté une révolte à la suite de la mort d’une demandeuse d’asile en provenance de Côte d’Ivoire. Les immigrés illégaux, en colère parce que selon eux les secours n’étaient pas arrivés assez vite, ont occupé toute la structure, ont supprimé la lumière et ont mis le feu à des palettes. Le personnel composé de 25 employés s’est barricadé dans des bureaux dans l’attente que la police arrive enfin à rétablir l’ordre, tard dans la nuit.

C’est la troisième fois que les « hôtes » du centre entament des protestations. D’autres désordres du même genre ont eu lieu, en ce début d’année, dans d’autres villes d’Italie comme Vincenza et Vérone. Les clandestins ont bloqué les rues et les routes, renversé les poubelles, vandalisé les voitures parquées.

Les révoltes et les violences aux biens et aux personnes se multiplient dans les centres d’accueil : les réclamations concernent la qualité et la quantité de nourriture, les carences dans les divers services, l‘éloignement des grandes villes, l’irrégularité avec laquelle vient distribué l’argent de poche… pour protester les « migrants » détruisent le mobilier, envahissent les places, lancent des défis et des insultes, jettent des paquets entiers de nourriture…

On reste incrédule devant de tels revendications et actes de vandalisme formulés par des étrangers qui se croient tout permis alors qu’ils sont en situation illégale sur le sol italien et européen et souvent n’ont fui aucune zone de guerre. L’accueil de ces clandestins qui arrivent en Europe sans y avoir été invités coûte à l’Italie 4 milliards d’euro par an grâce auxquels ils viennent nourris, habillés, logés, avec le plein accès aux différents services sanitaires et hospitaliers sans qu’eux-mêmes aient à dépenser un centime, alors que de plus en plus d’Italiens, qui payent leurs impôts et vont vivre l’Italie par leur travail, sont touchés par la pauvreté et la crise économique. D’ailleurs aucun d’eux ne se permettrait de tout saccager sur son passage  parce que le Samu a tardé !

Ces immigrés presque tous des jeunes hommes africains, attirés par le mirage de la vie facile et hédoniste, débarqués en une Europe qu’ils croient être un Eldorado matérialiste où la richesse tombe dans la main comme la noix de coco de son palmier en leurs terres africaines, face à la réalité d’une situation précaire qui ne répond pas à leurs expectatives de bien-être paresseux, réagissent mal. Comme chez eux ! Par des révoltes violentes contre le gouvernement, les étrangers, les riches… en commettant des actes de vandalisme systématique des boutiques et des maisons, en détruisant et incendiant tout ce qu’ils ne peuvent pas emmener, jusqu’à l’intervention musclée de la police pour rétablir l’ordre. Ils leur manquent les machettes, mais pour combien de temps encore ?

L’humanitarisme béat et idiot des officines immigrationnistes et bien-pensantes, couplé il est vrai à l’appât du gain des profiteurs de la misère d’autrui, provoque un appel d’air à venir en Europe chez ses populations misérables du Tiers-Monde. Qui arrivent chez nous la tête bourrée d’illusions mais aussi avec leurs coutumes tribales dont ces  révoltes nous révèlent la violence ancestrale…

Et ce sont des milliers de révolte comme celle de Cona qui attendent l’Italie et toute l’Europe !

Francesca de Villasmundo

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