A rebours de l’invisibilisation de la monnaie dictée par les organismes banquiers internationaux et des desiderata du Forum Economique Mondial, de l’Union Européenne, Giorgia Meloni, à la tête du nouveau gouvernement italien, prend la défense de l’argent liquide en favorisant sa circulation.
Le pays est sur le point d’utiliser davantage d’argent liquide et moins de cartes de crédit, à contre-courant de la tendance mondiale promouvant la monnaie électronique, après que la Première ministre italienne Giorgia Meloni a qualifié les paiements par carte d’ « argent privé ».
« Elle veut inclure une règle pour les entreprises et les commerçants qui leur permet de refuser les cartes de crédit et d’exiger de l’argent pour les paiements [jusqu’à 60 euros] », a déclaré Millsy au co-animateur Karl sur 6PR Breakfast, émission australienne.
« Je suis allé dans un pub l’autre jour, et j’ai essayé de payer en espèces et ils ont dit « désolé, nous ne prenons pas d’espèces ». »
Sur le plan fiscal, la politique est saine, beaucoup de personnes vivant au-dessus de leurs moyens. « Ce serait en fait une façon sensée de gouverner, si vous y réfléchissez », a déclaré le présentateur de l’émission australienne.
Sur le plan social, la politique est saine aussi, puisqu’elle contre la volonté des élites mondialistes, WEF, FMI, BCE, de surveiller, via la numérisation des achats, la vie quotidienne des personnes.
Une initiative italienne qui s’oppose ainsi aux lendemains dystopiques prévus par les Schwab & Co.
Francesca de Villasmundo
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