Entre pays réel et pays virtuel le fossé se creuse jour après jour.
Le gouvernement italien demande aux régions et aux communes de trouver 50 000 places de plus pour les migrants. Certaines régions regimbent dont celle du Trévise, gouvernée par la Ligue du Nord qui refuse d’obtempérer.
L’État, démocratique il va s’en dire, passe alors à la manière forte : « Si vous continuez à dire non nous devrons réquisitionner les maisons vides, propriétés de particuliers. »
Face à cette ultimatum du ministère de l’Intérieur, collaborationniste du grand remplacement, les léguistes ne se laissent pas intimider : « Que cela soit clair que si cette idée d’attenter à la propriété privée se confirme nous nous interposerons entre le gouvernement et les citadins. Nous le ferons quoi qu’il en coûte. » « Dans le cas où cette menace n’est pas une boutade, souligne Giovanni da Re, secrétaire de la Ligue Vénète, nous serons prêt à relever les provocations. »
Bras de fer donc avec le préfet du Trévise qui vient de transformer un ancien couvent en centre d’accueil et qui explique qu’il ne s’agit pas « de menaces mais de demandes de collaboration. »
Collaboration ! Terme certainement le plus approprié pour définir la politique félonne du gouvernement italien qui œuvre, inlassablement, au grand remplacement européen. Auquel résistent encore, courageusement, des hommes et des femmes dans tous les pays d’Europe.
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !