« La haine des élites ne m’effraye pas. »
« La furie de certaines idéologies relativistes dépasse les frontières de la réalité, arrivant ainsi à mettre en doute certaines évidences flagrantes, qui se reflètent entièrement dans notre Constitution. »
« La République reconnaît les droits de la famille comme société naturelle fondée sur le mariage. Ceci sera le principe de mon action de ministre. »
« Nous avons affirmé des choses que nous pensions étaient normales, presque évidentes : qu’un pays pour croître a besoin d’enfants, que la maman s’appelle maman (et non parent 1), que le pape s’appelle papa (et non parent 2). »
Dans Il tempo, le ministre de la famille défend point par point ses positions, se moquant des « réactions de certains milieux qui font du relativisme leur drapeau. » Il n’entend pas se laisser effaroucher par la « révolte ds élites ».
« Nous ne sommes pas effrayés par la dictature de la pensée unique, promet-il. Nous allons en avant, avec de grandes motivations, nous avons tellement de projets à mettre en place. Nous avons les épaules assez larges pour résister aux attaques gratuites, en répondant avec l’évidence des faits, la force des idées, et la concrétisation des actions. Mais jamais comme aujourd’hui se battre pour la normalité n’a été un tel acte héroïque. »
Lorenzo Fontana, dans sa lettre, cite le grand pape Pie X à son secours :
« Ils vous appelleront papistes, rétrogrades, intransigeants, cléricaux : soyez-en fiers ! »
Et affirme, à sa suite, se dire fier de « ne pas avoir peur » de se dire « chrétien » et « d’être pour la vie ».
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !