Y-a-t-il une vaste campagne européenne en faveur de la vaccination à outrance ? Étonnamment deux pays phares de l’Union européenne, soumis tous les deux à une invasion migratoire colossale ce qui peut-être explique en partie cette volonté d’un retour à plus d’un dizaine d’injections vaccinatrices, s’activent dans le même sens.

Alors qu’en France l’actuelle ministre de la Santé Agnès Buzyn veut rendre obligatoires onze vaccins, conséquence du pacte entre Macron et ses soutiens électoraux les laboratoires pharmaceutiques, le gouvernement de gauche de son voisin transalpin, avec une longueur d’avance, vient de légiférer, aujourd’hui vendredi 28 juillet, sur le sujet : dorénavant en Italie les vaccinations obligatoires et gratuites passent de 4 à 10 ! Les tout petits enfants devront, pour être admis à l’école, avoir été piqués par les vaccins contre la poliomyélite, la diphtérie, le tétanos, l’hépatite B, la coqueluche, la Haemophilus influenzae de type B, la rougeole, la rubéole, la varicelle et les oreillons. Quatre autres vaccins sont vivement conseillés et gratuits également : contre la méningite B et celle de type C, le pneumocoque et le rotavirus.

Un véritable cocktail explosif chargé d’aluminium, aux conséquences futures incalculables sur la santé des générations à venir.

Les flux migratoires sont-ils une des raisons de cette politique vaccinatrice ? L’Italie, en première ligne face aux débarquements massifs de clandestins provenant surtout des pays africains, connaît dernièrement une recrudescence importante de cas de méningite mortelle. Or , dès 2015, des ONG telles la Croix Rouge, Médecins sans frontières, et des organismes mondiaux comme l’Unicef ou l’OMS avaient lancé l’alarme sur l’explosion des cas de méningite C en Afrique, particulièrement subsaharienne. On parle même d’une « ceinture de la méningite » dans cette région.

Il existe donc bel et bien un risque pour l’Europe d’épidémie de méningite et d’autres maladies telle la tuberculose, importées par les migrants. Ces risques ne seront cependant pas maîtrisés par la vaccination à outrance des enfants européens, qui fait il est vrai les affaires des laboratoires pharmaceutiques, mais plutôt par un contrôle aux frontières et un rapatriement des clandestins. Une politique de santé salutaire que bien entendu nos gouvernements immigrationnistes adeptes du melting-pot, véritable bouillon de cultures, n’entendent absolument pas mettre en place…

Francesca de Villasmundo

http://www.secoloditalia.it/2017/06/vaccini-lobbligo-ora-e-legge-punto-per-punto-cosa-prevede-il-decreto/

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