Le quotidien i24 news titrait le 4 juillet dernier : Israël/Coronavirus : le nombre de patients dans un état grave augmente peu à peu malgré la vaccination. On pourrait croire, puisque tous les médias mainstream vantent la vaccination, et en appellent même à la vaccination obligatoire, que les Israéliens vaccinés sont préservés de ce qu’ils qualifient pompeusement de « reprise de la pandémie ». Et bien non ! Plus loin dans l’article, on apprend que 16 nouveaux patients contaminés par le coronavirus et son variant Delta « se sont ajoutés cette semaine au nombre de malades dans un état grave, dont 11 personnes vaccinées », soit 69% de ces 16 malades.
« La tendance à la hausse du nombre de patients dans un état grave inquiète les hauts responsables du ministère de la Santé, notamment parce que la plupart d’entre eux sont vaccinés et âgés » ajoute i24 news.
Devant ces faits, au lieu de prendre le temps de la réflexion, maintenant la logique de la vaccination à tout prix, le ministère de la Santé préconise « une troisième dose de vaccin contre le coronavirus aux personnes dont le système immunitaire est affaibli » alors que dès janvier dernier, un rapport du service de renseignement des forces de défense israéliennes (pdf) mettait en garde contre le fait que le programme de vaccination de masse en Israël pourrait créer une mutation résistante aux vaccins Covid-19. Préparé pour le Centre national d’information et de connaissances sur le coronavirus, le rapport indiquait que « la campagne de vaccination de masse qui se déroule parallèlement à l’épidémie active en Israël peut ‘pousser le virus à évoluer’ ».
Le journal Epoch Times dans un récent article cite « une étude non évaluée par des pairs réalisée en mai par 14 chercheurs de cinq écoles de médecine et universités allemandes, qui ont découvert que le variant Delta (indien) B.1.617 hautement transmissible – l’un des quatre variants classés par l’OMS comme ‘’variant préoccupant au niveau mondial‘’ – est plus à même que le virus original d’infecter des patients qui ont été précédemment vaccinés ou infectés. »
Epoch Times parle également d’une autre « étude non évaluée par des pairs qui étaye cette théorie » et « a été réalisée par les services de santé israéliens Clalit et l’université de Tel Aviv. Elle a analysé 800 personnes qui avaient été infectées par le Covid-19 – 400 d’entre elles avaient été préalablement vaccinées et 400 n’avaient pas été vaccinées – pour découvrir que celles qui avaient été entièrement vaccinées par deux injections Pfizer avaient contracté le variant sud-africain à un taux huit fois supérieur à celui des personnes non vaccinées (bien que la taille de l’échantillon soit très petite). L’étude, qui a comparé les deux groupes en fonction de données démographiques telles que l’âge et le sexe, a également révélé que les personnes ayant reçu une injection Pfizer ont plus souvent contracté le variant britannique que celles qui n’en ont reçu aucune. »
En conclusion, Epoch Times rappelle que si « pour lutter contre les vagues de mutations provoquées par le Covid-19, de nombreux experts insistent sur la nécessité de créer de nouveaux vaccins », d’autres avertissent que « si ces vaccins sont administrés pendant une pandémie, ils pourraient simplement perpétuer un cercle vicieux où de nouvelles variantes engendrent le besoin de nouveaux vaccins engendrant de nouvelles variantes ».
Ces faux vaccins mais vraies ‘thérapies géniques » aux effets à moyen et long termes inconnus : sont-ils vraiment un remède miracle contre le covid-19 ? On peut en douter…
Francesca de Villasmundo
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !