Dans le cadre du processus menant à la réalisation d’un plan messianique, mondialisme, immigration et islamisation de l’Europe vont parfaitement ensemble, comme l’expliquent volontiers publiquement certains rabbins.
Ceux-ci se réjouiront donc de savoir que le Comité des droits de l’homme de l’ONU, organe de surveillance du Haut-commissariat aux droits de l’Homme (HCR), s’apprête à remettre en cause la loi française du 11 octobre 2010 sur la dissimulation du visage dans l’espace public. Les dix-huit juristes internationaux qui composent cette instance devraient publier avant la fin du mois d’octobre leurs «constatations» à propos de deux requêtes de femmes musulmanes verbalisées pour avoir violé cette loi.
Et ce Comité des droits de l’homme de l’ONU, organe supranational, s’apprête à annoncer que la législation française sur le voile intégral «porte atteinte à la liberté religieuse» et crée une «discrimination» à l’encontre de ces femmes.
Précisons cependant ce Comité des droits de l’homme de l’ONU n’a aucun pouvoir de contrainte. Son avis sur la burqa ne devrait donc pas être suivi d’une modification de la loi française sur la burqa. D’autant qu’en 2014, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) avait validé la législation, mise en œuvre sous François Fillon. «Consciente que l’interdiction contestée pèse essentiellement sur une partie des femmes musulmanes», bien que des femmes juives porteuses de la frumka devraient également être concernées, la CEDH avait relevé que la loi «n’affectait pas la liberté de porter dans l’espace public des éléments vestimentaires qui n’ont pas pour effet de dissimuler le visage et qu’elle n’est pas explicitement fondée sur la connotation religieuse des vêtements, mais sur le seul fait qu’ils dissimulent le visage».
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