Voici une information qui inquiète de plus en plus d’électeurs américains. Pour l’élection présidentielle, 16 Etats américains ont confié l’organisation du vote électronique à Smartmatic, une société de vote électronique, dont le siège se trouve au Royaume-Uni.
Lord Mark Malloch-Brown, président de la société Smartmatic, fait également partie du conseil d’administration de l’Open Society Foundations (OSF) du milliardaire cosmopolite George Soros. Lord Mark Malloch-Brown a même été vice-président du Fonds d’investissement de Soros.
En 2005, Smartmatic a racheté l’entreprise californienne Sequoia Voting Systems et a pris pied dans l’organisation des élections américaines. Le site Internet de Smartmatic Group décrit comment l’entreprise a déjà contribué aux élections américaines entre 2006 et 2015, avec « 57 000 machines de vote et de compte déployées » et « 35 millions d’électeurs assistés ». Selon le site internet de la société, « en moins d’un an Smartmatic a triplé la part de marché de Sequoia » et « les États-Unis ont choisi Smartmatic comme fournisseur de technologie et de services électoraux auprès des commissions électorales de 307 comtés dans 16 États ».
Une pétition contre l’utilisation des machines de vote fournies par Smartmatic circule depuis quelques jours.
« Nous demandons au Congrès de tenir une session extraordinaire en vue de retirer les machines de vote appartenant à George Soros dans 16 États. Cet homme a été lié à la campagne d’une personne qui participe à l’élection et a un parti pris clair pour un candidat. Le fait qu’il possède des machines de vote dans 16 États porte atteinte à notre système électoral. »
Cette pétition arrive probablement trop tard. Mais voilà un argument qui sera probablement retenu par Donald Trump en cas d’annonce de victoire d’Hillary Clinton.
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