« Ils m’ont mis les mains entre les jambes et m’ont arraché le collant » raconte l’une d’elles.
« Nous étions 5 ou 6, révèle au quotidien italien, Le Corriere della Sera, une jeune italienne. Ils nous ont encerclées. Ils dansaient et riaient et au début nous ne nous sommes pas inquiétées. Nous étions tous dans la rue pour nous amuser et fêter le nouvel an au milieu de milliers de personnes. » Puis le climat a changé : « Ils se sont rapprochés en nous serrant contre eux, en nous touchant, en nous faisant des demandes sexuelles explicites. Ils m’ont mis les mains entre les jambes, m’ont arraché le collant. J’ai réussi à me dégager, je les ai repoussés en m’éloignant. Mon amie a fait la même chose. Puis nous sommes rentrées à l’hôtel. » « Ils parlaient anglais et un allemand effroyable » raconte une autre.
Ce sont des faits similaires à ceux de Cologne l’an dernier. Il n’y a aucun doute sur l’origine étrangère des assaillants, « des hommes entre 20 et 40 ans » qui seraient des Afghans ou des Nord-Africains. Arrivés en Europe en terrain conquis, nourris-logés aux frais des contribuables, ces étrangers orientaux, probablement hôtes de centres d’accueil pour réfugiés, n’ont aucun respect pour la femme en générale, européenne en particulier. Combien de nuit de cauchemar devront vivre les femmes pour qu’enfin des mesures soient prises pour interdire le territoire européen à ces hordes de nouveaux barbares ?
Francesca de Villasmundo
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