« Un autre conflit présenté par les socialistes est celui des humains contre la nature, affirmant que nous, les êtres humains, nuisons à la planète qui devrait être protégée à tout prix, allant même jusqu’à plaider en faveur d’un mécanisme de contrôle de la population ou d’un programme sanglant d’avortement. »
Le président argentin Javier Milei a créé la surprise en utilisant sa tribune au Forum économique mondial de Davos (WEF) pour dénoncer le contrôle de la population et le « programme sanglant d’avortement ».
Discours inattendu en un tel lieu
«Malheureusement, ces idées néfastes ont pris racine dans notre société. Les néo-marxistes ont réussi à renverser le bon sens du monde occidental, et ils y sont parvenus en s’appropriant les médias, la culture, les universités mais aussi les organisations internationales. Ce dernier cas est probablement le plus grave car il s’agit d’institutions qui ont une énorme influence sur les décisions politiques et économiques des pays qui composent les organisations multilatérales.», a déclaré Javier Milei durant son discours.
Un discours qui n’a pas été accueilli avec enthousiasme par les participants au Forum économique mondial de Davos, est-ce besoin de le préciser.
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