Les pays de l’Union européenne ont une fois de plus blablaté à propos de l’immigration. L’accord signé jeudi soir prévoit un mécanisme de répartition de 60.000 demandeurs d’asile au cours des deux prochaines années. Il est notamment écrit dans cet accord que les chefs d’Etat européens « donnent leur accord à la relocalisation sur deux ans de 40.000 personnes arrivées en Italie et en Grèce et ayant besoin d’une protection provisoire, et à la réinstallation de 20.000 réfugiés« , a annoncé Matteo Renzi, premier ministre italien.

Mais cet accord ne dit rien sur la façon d’empêcher que des centaines de milliers d’autres immigrés clandestins déferlent sur les côtes européennes. Cet accord est donc déjà dépassé au vu de la quantité de nouveaux immigrés illégaux qui débarquent chaque jour.

Nos gouvernants se limitent à mal gérer la répartition de cette marée d’immigrés en sous-estimant son ampleur réelle, son coût et ses conséquences désastreuses pour l’avenir de notre continent sans envisager le moins du monde de mettre fin à ce déferlement.

La seule relative bonne nouvelle de cette réunion des chefs d’Etat européens, c’est l’échec du projet de quotas d’immigrés par pays, les pays d’Europe orientale ayant farouchement refusé la chose.

Comme il est loin, le temps où le Figaro-Magazine titrait : immigration ou invasion ? C’était en… 1991. 

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