L’immigration est un défi majeur qui demande aux autorités du courage et de la fermeté. Loin du laxisme de nos dirigeants européens qui se préparent à ouvrir encore plus les portes aux vagues déferlantes d’immigrés, l’Australie n’entend pas se laisser submerger.
Les campagnes se succèdent pour avertir les immigrés qu’ils ne sont pas les bienvenus. Parfois, c’est même l’armée qui délivre le message !

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Entre l’accueil des réfugiés authentiques et le renvoi des terroristes, il existe le juste milieu par le tri. Jésus a dit « j’étais étranger et vous m’avez accueilli, venez les bénis de mon Père, entrez dans mon Royaume » (cf. Apocalypse, jugement dernier St. Mathieu) et « j’étais étranger et vous ne m’avez pas accueilli, allez dans la géhenne là où il y aura des pleurs et des grincements de dents ».
@Françoise
désolé mais ça n’a strictement rien à voir.
Il y a une différence majeur entre « acceuillir » et se laisser « envahir »..
En l’occurence le Christ parlait d’un acceuil d’individu à individu avec contact visuel et physique préalable, et absolument pas d’un « acceuil » massif d’immigrés majoritairement musulmans avec lesquels vous n’avez aucun contact, et qui renforceront la présence de l’islam en Europe.
Faire entrer massivement ces immigrés musulmans qui ne seront jamais assimilables, c’est sacrifier nos compatriotes les plus fragiles et notre civilisation hélléno-Chrétienne, et le Christ n’aurait certainement pas cautionné une tel chose.
Sachant que derrière cette immigration massive, il existe une stratégie de destruction de notre civilisation et des principes millénaires qui la régisse, la parabole du Christ que vous citez ne s’applique aucunement à la situation que nous vivons à l’échelle nationale et européenne.
Par ailleurs seriez vous prête à accueillir dans votre propre domicile une dizaines de ces immigrés qui finiront inéluctablement par vous imposez leurs mode de vie ? car il est trés facile de « prêcher la bonne parole » mais beaucoup plus difficile de la mettre en pratique à titre individuel..
Ma cher Françoise, n’oubliez jamais que vous avez deux maisons, à savoir la maison dans laquelle vous résidez à titre individuel, et la grande MAISON FRANCE dans laquelle nous résidons tous collectivement.
Acceuillir des immigrés d’un côté tout en sacrifiant ses compatriotes de l’autre, est tout sauf Chrétien.
@ Charles Martel : Si vous lisez mes commentaires en entier, vous verrez que je parlais uniquement des réfugiés chrétiens, dont la vie est en grand danger.
En pleine guerre mondiale 1915-16-17 la France a accueilli des centaines de milliers de réfugiés Russes blancs (dont la jeune veuve mère du futur Haroun Tazieff dont le père avait été fusillé par les Bolcheviks)orthodoxes et Arméniens. TOUS se sont parfaitement assimilés et ont même contribué au redressement de la France exsangue au sens propre du terme. Les migrants musulmans, qui sont la grande majorité, doivent être orientés vers les pays arabo-musulmans riches comme le Qatar, l’Arabie saoudite etc.
On peut aussi mentionner Vladimir Volkoff, Henri Verneuil, Henri Troyat (Arménien aussi), Dimitri et Constantin Amilakhvari…
Citons aussi Charles Aznavour, dont les œuvres n’ont jamais offensé les chrétiens ni personne, qui nous ravit l’âme contrairement à ces rappeurs qui assassinent notre âme.
Les idéologues du « métissage » et de l’accueil de l’autre » instrumentalisent l’antique et unique Charité Chrétienne pour amener lesdits Chrétiens à relativiser leur foi et leur culture, leur faire croire que « tout se vaut » et abandonner tout droit sur les nations et patrimoines qu’ils ont pourtant construits et à se soumettre à des héritages religieux et modes de vie fondamentalement opposés aux leurs mais qu’on les oblige à accepter comme « équivalents. Cette idéologie prône l’amour de celui qui est loin mais hait celui qui est proche. On aime son prochain quand il est loin et qu’on n’est pas directement concerné par sa compréhension de l’Homme et de la vie, et on hait son prochain qui est à côté, qui souffre et auquel on refuse charité et dignité. Alors que la Charité devrait s’adresser à tous, avec intelligence et discernement, accompagné de l’attachement à la Vérité et à la Justice. Jean Raspail dans « Le Camp des Saints » et Vladimir Volkoff notamment dans « Le Complot » et dans une moindre mesure Andrei Makine avaient bien compris et décrit cette hérésie. Trois écrivains pourtant Chrétiens et très attachés à la Nation, la Patrie, la famille pour les deux premiers et qui, tous étaient aussi paradoxalement très cosmopolites dans le bons sens du terme, de grande culture, de grande curiosité d’esprit, laquelle signifie culture et connaissance, mais sans « ouverture » relativiste.
Il est bien d’éprouver de l’empathie pour ceux qui souffrent, à condition de comprendre que ces derniers sont aussi à côté de nous, que la Charité ne demande pas le relativisme ni la soumission, ne se fait pas au détriment de la Vérité et ne doit pas s’accompagner de la destruction des communautés fondées sur cette Vérité.
La Charité n’annule pas la Vérité, n’annule pas les devoirs envers nos proches, envers nos familles, et n’annule pas les devoirs de tout homme dans une communauté qui n’est pas la sienne. On ne peut faire la Charité aux uns, lointains, en retirant aux autres, proches ce qu’on donne aux premiers. Nous ne sommes alors pas charitables envers nos familles et nos proches que nous dépouillons et mettons alors en situation difficile, voire dangereuse. Charité ne rime pas avec bêtise ou inconscience. La Charité n’annule pas le fait que les peuples sont chez eux sur leur terre, mais complète ce principe et lui donne son sens. La Charité n’annule pas la légitimité des communautés Chrétiennes à demeurer fermes dans leur Foi, leur idéaux, leur mode de vie, et de les préserver de toute atteinte, ajout ou altération extérieure à la Vérité. Or la Charité, qui est de porter secours à une personne en détresse n’implique pas nécessairement que cette personne demeure pour toujours avec nous. Secourir une personne ne signifie pas l’ »intégrer » telle quelle dans une de nos nations sans qu’il n’y ait de sa part une remise en cause de son référentiel et une adhésion au notre. Secourir ne le nécessite pas, mais vivre avec nous, en revanche, si. Aider une personne ne signifie pas lui donner la propriété sur notre nation sur nos familles. Ce n’est absolument pas une question de race ou de biologie mais d’allégeance à un héritage spirituel et à son patrimoine de culture, d’Art et d’Histoire, allégeance que tout être humain peut faire, indépendamment de ses origines. Saint Paul nous a bien enjoint à faire le bien autour de nous et d’abord à nos frères dans la foi. Cela ne signifie pas oublier les autres, n’est ni égoïsme, ni individualisme, bien au contraire (puisque nous nous préoccupons de préserver notre communauté spirituelle avec ses idéaux et enseignements contre tout relativisme d’une part et nos proches et nos familles contre toute agression ou invasion d’autre part, et surtout à assurer le plus précieux, à savoir leur Salut, qui serait mis en péril si nous acceptons comme équivalents aux nôtres des mœurs, des idéaux et enseignements antinomiques dans nos vies de tous les jours.) mais contribuer à enfanter leur image divine et leur promesse de Salut en fonction des moyens que Dieu nous donne d’une part, et sans trahir la charité envers nos proches ni la fidélité envers la Vérité d’autre part. Charité n’est ni relativisme moral ou religieux, ni soumission aveugle à ce qui est opposé à nos enseignements et idéaux. La Charité ne consiste pas à trahir et à livrer ses proches et sa famille pour une « paix » de soumission et d’esclavage.