Ceci se passe au Canada dans la Belle Province. Quand on parle de mondialisme, ce n’est pas une vue de l’esprit, partout la caste dirigeante mondialiste impose les mêmes critères. Il y a quelques jours nous attirions votre attention sur l’enseignement de l’Islam à l’école en France. Eh bien au Québec c’est exactement la même chose. En Allemagne des parents d’élèves qui refusaient que leurs enfants suivent les cours sur le gender avaient été emprisonnés. Au Canada, un père d’élèves a fait partager sur la toile sa préoccupation sur « les devoirs sur l’Islam que devait effectuer un de ses enfants dans le cadre du cours Éthique et cultures religieuses. »
Les remarques de cet habitant de Lanoraie ont fait « le buzz » sur Internet. Loin de se soucier du succès remporté dans l’opinion publique par l’enseignement imposé d’une religion étrangère et indésirable à l’école, la Commission scolaire des Samares a eu l’outrecuidance de lui envoyer une mise en demeure avec menaces pour qu’il retire son commentaire!
« Ils ont banni le catéchisme de nos écoles pour faire place à l’enseignement de l’Islam », déplore M. Maurice avant d’ajouter qu’il était dévasté en voyant le contenu du devoir en question. Il a photographié les pages du devoir avant de les publier sur Facebook », commente le journaliste. L’émoi du père a rapidement gagné la toile, au point que la dictature de la pensée scolaire lui a fait parvenir une mise en demeure , exigeant qu’il retire sa publication. La commission affirme que cette dernière contrevient à la déclaration des droits et des responsabilités de Facebook, notamment en ce qui à trait à la publication de contenus incitant à la haine ou à la violence. « Bien que la chartre des droits et libertés protège la liberté d’expression, les propos haineux sont inacceptables », annonce le document, qui précise que la CSS est devenu laïque en 1998. La Commission scolaire des Samares devrait livrer ses commentaires au cours de la journée.
Pour Jacques Maurice, il s’agit d’une situation complètement aberrante. « On enseigne à nos enfants des principes avec lesquels je suis en profond désaccord », explique ce dernier. Il ajoute avoir procédé à des modifications de sa publication après la réception de la mise en demeure. « Les mots ont peut-être dépassé ma pensée, mais le fond du problème demeure, peu importe la manière dont on en parle », explique Jacques Maurice. Il insiste sur le fait que son opinion ne repose pas sur le racisme, mais bien sur l’équité entre les composantes de la population. « Est-ce vraiment équitable de voir un enseignement être imposé de la sorte? Avant, les parents avaient le choix », souligne le résident de Lanoraie. Ce dernier ajoute qu’il ne blâme en aucun moment l’enseignante ou la directrice de l’établissement. « Ce sont des personnes formidables qui pas le choix de refuser les outils que leur impose le ministère de l’Éducation. »
Jacques Maurice a déclaré qu’il aimerait que le ministère de l’Éducation modifie son programme pour le cours d’Éthique et de culture religieuse. « J’aimerais vraiment que les parents qui, comme moi, ne sont pas d’ accord avec ces croyances, soient pris en considération », explique-t-il. Ce dernier affirme que plusieurs autres parents du secteur partagent son opinion. Il ajoute que dans le contexte de tension internationale observé en ce moment, ce ne serait peut-être pas une mauvaise idée de revoir ce programme.
Le Ministère de l’Éducation devrait également réagir à cette situation au cours de la journée.
On comprend bien que ce père qui se soucie du caractère subversif de l’enseignement donné à son fils, tout en restant ferme sur le principe, veuille ménager autant que faire ce peut les cadres de l’école ainsi que « l’Education nationale » québécoise, pour que cela ne retombe pas sur son fils.
N’existe-t-il aucune école « hors contrat » au Québec ?
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