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Houellebecq, sioniste, juge aussi le Christ « très antipathique »

Le sujet du nouveau roman de Michel Houellebecq, une France présidée en 2022 par un musulman à l’issue d’élections qui échappent au FN, pourrait séduire un bon nombre de Français inquiets par la situation politique, le poids de l’immigration et le développement de l’islam sur notre sol.

Il convient néanmoins d’en savoir plus sur Michel Houellebecq.

Sionisme

En janvier 2011, le  New York Times rapporta le propos de Michel Houellebecq précisant qu’il était « toujours du côté des juifs ». 

Le quotidien américain nota également une autre déclaration du prix Goncourt 2010, extraite de son ouvrage de correspondance avec Bernard-Henri Lévy : Houellebecq évoquait « une véritable joie de voir Israël combattre ces jours-ci ».

Antichristianisme

Le 26 août 2014, en tournée promotionnelle pour son film L’enlèvement de Michel Houellebecq , le romancier était l’invité d’Europe 1.

Commentant le dernier ouvrage -consacré à la perte de la foi- du romancier Emmanuel Carrère, Houellebecq déclarait (à 1’20) : « Je me rendais compte que j’aimais pas du tout le Christ, il m’était très antipathique ».

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