Ces derniers mois, le nombre d’immigrés essayant d’arriver dans le pays a énormément augmenté en Hongrie, et même si beaucoup tentent ensuite d’arriver dans d’autres zones de l’UE, beaucoup restent à Budapest en quête de fortune. Face à l’invasion, la Hongrie se dote d’une loi anti-immigration sévère.
La Hongrie contre l’immigration, la nouvelle loi
Mais contrairement à d’autres pays européens, le gouvernement hongrois ne s’est pas laissé faire chanter par les différentes ONG qui font pression pour accueillir tous ceux qui arrivent : pour résoudre le problème, le parlement hongrois a approuvé il y a quelques jours une loi anti-immigration qui est la plus sévère au sein de l’Union européenne. Cette nouvelle législation introduit de nombreux changements : ils méritent la plus grande attention.
Pour commencer, la disposition prévoit que les emplois créés en Hongrie sont exclusivement réservés aux citoyens hongrois et que les immigrants ne peuvent y accéder que s’il n’y a pas de Hongrois disponibles pour occuper ces emplois.
En outre, si un immigrant est licencié, il doit quitter la Hongrie dans les six jours et les employeurs doivent contribuer à l’expulsion en communiquant le licenciement aux autorités compétentes.
D’autres mesures prévues par cette loi interdisent aux immigrants de faire venir des membres de leur famille de leur pays d’origine et les citoyens non européens n’ont pas le droit de résider en Hongrie.
L’opposition ? Toujours le même discours culpabilisateur mais qui ne prend pas en Hongrie
Comme on peut l’imaginer, les partis de gauche se sont opposés à cette loi mais le parti au pouvoir ne s’est pas laissé intimider et a poursuivi son chemin, démontrant sa volonté de protéger les intérêts des citoyens hongrois.
Il est évident que ce que la Hongrie a fait pourrait également être fait par les autres pays européens submergés par l’invasion migratoire : ce qu’il faut, c’est bien une volonté politique. Quelque chose qui manque actuellement.
Ce n’est peut-être pas un hasard si cette nouvelle a été censurée par la presse mainstream française : la divulguer serait trop embarrassant, ils préfèrent s’en prendre au gouvernement de Budapest qui a « l’étrange idée » de protéger les intérêts de ses citoyens.
Francesca de Villasmundo
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