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Hérésies des réponses de François aux « Dubia » – Troisième partie : la porte ouverte au sacerdoce des femmes

– Accès à la première partie : l’évolution des dogmes
– Accès à la deuxième partie : la bénédiction de couples homosexuels

Avant de nous pencher sur la question posée à François et de la réponse qu’il lui a faite, intéressons-nous à la vérité infailliblement enseignée par l’Eglise du caractère exclusivement masculin du sacerdoce.

Cela n’est pas développé en tant que tel dans le Magistère traditionnel, car à l’époque la question ne se posait même pas. Cela dit, on peut souligner que l’unanimité morale des Pères de l’Eglise, qui reflète une vérité infaillible, affirmait déjà ce caractère exclusivement masculin.

Bien plus tard le Pape Benoît XIV déclara :

« Le pape Gélase, dans sa neuvième lettre aux évêques de Lucanie (chap. 26), a condamné la pratique malfaisante ayant été introduite, de femmes servant le prêtre à la célébration de la Messe. Puisque cet abus s’était répandu auprès des grecs, Innocent IV l’avait strictement interdit dans sa lettre à l’évêque de Tusculum : « Les femmes ne devraient pas avoir l’audace de servir à l’autel ; elles devraient toutes se voir refusées ce ministère. » Nous aussi avons interdit cette pratique dans les mêmes termes dans ladite Constitution qui est la Nôtre (Constitution Etsi pastoralis pour les Italo-​Grecs, publiée le 26 mai 1742). » (Encyclique Allatae sunt, 26 juillet 1755 – Sur l’observance des rites orientaux)

S’il en est ainsi pour le seul service de messe, à plus forte raison pour l’exercice du sacerdoce lui-même.

Enfin, le Code de Droit Canon de 1917, qui est couvert de l’infaillibilité dite pratique ou négative, c’est-à-dire qu’aucune de ses implications doctrinale ne saurait être fausse, dispose ce canon ayant une implication doctrinale :

« Seul l’homme baptisé reçoit validement la sainte ordination ; la reçoit licitement celui qui, du jugement de son Ordinaire propre, possède les qualités requises par les saints canons et n’est entravé par aucune irrégularité ou autre empêchement. » (Canon 968, §1)

Il faut retenir les mots seul et validement. La loi officielle de l’Eglise, en affirmant positivement que seul un certain type d’individus reçoit validement la sainte ordination, affirme donc parallèlement que tous ceux qui ne correspondent pas aux caractéristiques de celui qui la reçoit seul validement, la reçoivent invalidement. L’Eglise ne pouvant pas tromper les âmes sur la nature des sacrement, ce canon établit infailliblement le caractère exclusivement masculin du sacerdoce !

Mais même après Vatican II la même doctrine fut réaffirmée par la Rome conciliaire. 

Paul VI déclarait :

« Votre Grâce connaît bien sûr la position de l’Église catholique sur cette question. Elle considère qu’il n’est pas admissible d’ordonner des femmes à la prêtrise, pour des raisons très fondamentales. Ces raisons comprennent : l’exemple, rapporté dans les Saintes Écritures, du Christ choisissant ses Apôtres uniquement parmi les hommes ; la pratique constante de l’Église, qui a imité le Christ en ne choisissant que des hommes ; et son autorité enseignante vivante qui a constamment soutenu que l’exclusion des femmes de la prêtrise est en accord avec le plan de Dieu pour son Église. » (Réponse à la lettre de Sa Grâce le Très Révérend Dr Frederick Donald COGGAN, Archevêque de Cantorbéry, sur le ministère sacerdotal des femmes, 30 novembre 1975 : AAS 68 (1976), pp. 599–600)

« la véritable raison est que le Christ en a disposé ainsi lorsqu’il a donné à l’Église sa constitution fondamentale et l’anthropologie théologique qui a toujours été observée ensuite par la Tradition de cette même Église. » (Allocution Il ruolo della donna nel disegno di Dio, 30 janvier 1977 : Insegnamenti, vol. XV, 1977, p. 111)

Jean-Paul II :

« Seul un homme baptisé reçoit validement l’ordination sacrée. » (Code de Droit Canon de 1983, Canon 1024)

« En n’appelant que des hommes à être ses Apotres, le Christ a agi d’une manière totalement libre et souveraine. Il l’a fait dans la même liberté avec laquelle il a mis en valeur la dignité et la vocation de la femme par tout son comportement, sans se conformer aux usages qui prévalaient ni aux traditions que sanctionnait la législation de son époque. C’est pourquoi l’hypothèse selon laquelle il aurait appelé des hommes comme Apôtres en se conformant à la mentalité répandue en son temps ne correspond pas du tout à la manière d’agir du Christ. […]

Si le Christ, en instituant l’Eucharistie, l’a liée d’une manière aussi explicite au service sacerdotal des Apôtres, il est légitime de penser qu’il voulait de cette façon exprimer la relation entre l’homme et la femme, entre ce qui est « féminin » et ce qui est « masculin », voulue par Dieu tant dans le mystère de la Création que dans celui de la Rédemption. Dans l’Eucharistie s’exprime avant tout sacramentellement l’acte rédempteur du Christ-Epoux envers l’Eglise-Epouse. Cela devient transparent et sans équivoque lorsque le service sacramentel de l’Eucharistie, où le prêtre agit « in persona Christi », est accompli par l’homme. C’est là une explication qui confirme l’enseignement de la Déclaration Inter insigniores, publiée sur mandat de Paul VI pour répondre aux interrogations suscitées par la question de l’admission des femmes au sacerdoce ministériel [Cf. CONGR. POUR LA DOCTRINE DE LA FOI, Déclaration sur la question de l’admission des femmes au sacerdoce ministériel Inter insigniores » (Lettre apostolique Mulieris dignitatem, 15 août 1988 – Sur la dignité et la vocation de la femme, n. 26 : AAS 80 (1988), p. 1715)

«  » Seul un homme (vir) baptisé reçoit validement l’ordination sacrée  » ( CIC, can. 1024). Le Seigneur Jésus a choisi des hommes (viri) pour former le collège des douze apôtres (cf. Mc 3, 14-19 ; Lc 6, 12-16), et les apôtres ont fait de même lorsqu’ils ont choisi les collaborateurs (cf. 1 Tm 3, 1-13 ; 2 Tm 1, 6 ; Tt 1, 5-9) qui leur succèderaient dans leur tâche (S. Clément de Rome, Cor. 42, 4 ; 44, 3). Le collège des évêques, avec qui les prêtres sont unis dans le sacerdoce, rend présent et actualise jusqu’au retour du Christ le collège des douze. L’Église se reconnaît liée par ce choix du Seigneur lui-même. C’est pourquoi l’ordination des femmes n’est pas possible (cf. MD 26-27 ; CDF, décl.  » Inter insigniores « ) » (Catéchisme de l’Église catholique, n. 1577)

Enfin, vient sa célébrissime Lettre apostolique Ordinatio sacerdotalis du 22 mai 1994 :

« C’est pourquoi, afin qu’il ne subsiste aucun doute sur une question de grande importance qui concerne la constitution divine elle-même de l’Église, je déclare, en vertu de ma mission de confirmer mes frères (cf. Lc 22,32), que l’Église n’a en aucune manière le pouvoir de conférer l’ordination sacerdotale à des femmes et que cette position doit être définitivement tenue par tous les fidèles de l’Église. » (n°4)

Le 28 octobre 1995, la Congrégation pour la doctrine de la foi publia une réponse approuvée par Jean-Paul II, accompagnée d’un commentaire réaffirmant, suite à une question qui lui fut adressée, que cette déclaration était bel et bien définitive, irrévocable et infaillible. Il est possible de la lire en cliquant ici.

Benoît XVI dira au sujet de cette déclaration : 

« Récemment, un groupe de prêtres dans un pays européen a publié un appel à la désobéissance, donnant en même temps aussi des exemples concrets sur le comment peut s’exprimer cette désobéissance, qui devrait ignorer même des décisions définitives du Magistère – par exemple sur la question de l’Ordination des femmes, à propos de laquelle le bienheureux Pape Jean-Paul II a déclaré de manière irrévocable que l’Église, à cet égard, n’a reçu aucune autorisation de la part du Seigneur. La désobéissance est-elle un chemin pour renouveler l’Église ? Nous voulons croire les auteurs de cet appel, quand ils affirment être mus par la sollicitude pour l’Église ; être convaincus qu’on doit affronter la lenteur des Institutions par des moyens drastiques pour ouvrir des chemins nouveaux – pour ramener l’Église à la hauteur d’aujourd’hui. Mais la désobéissance est-elle vraiment un chemin ? Peut-on percevoir en cela quelque chose de la configuration au Christ, qui est la condition nécessaire de tout vrai renouvellement, ou non pas plutôt seulement l’élan désespéré pour faire quelque chose, pour transformer l’Église selon nos désirs et nos idées ? » (Sermon lors de la messe chrismale du 5 avril 2012)

Et même François répéta la même doctrine (avant de se contredire !) :

« Les revendications des droits légitimes des femmes, à partir de la ferme conviction que les hommes et les femmes ont la même dignité, posent à l’Église des questions profondes qui la défient et que l’on ne peut éluder superficiellement. Le sacerdoce réservé aux hommes, comme signe du Christ Époux qui se livre dans l’Eucharistie, est une question qui ne se discute pas, mais peut devenir un motif de conflit particulier si on identifie trop la puissance sacramentelle avec le pouvoir. » (Exhortation apostolique Evangelii gaudium, 24 novembre 2013 – Sur l’annonce de l’Evangile dans le monde d’aujourd’hui, n°104)

Lors de sa conférence de presse durant le vol de retour du voyage apostolique en Suède, le 1er novembre 2016, le pape François a confirmé cette position: « Sur l’ordination de femmes dans l’Église catholique, le dernier mot, clair, a été dit par saint Jean Paul II, et cela demeure ainsi ».

Un lecteur catholique verra dans la Lettre apostolique Ordinatio sacerdotalis du 22 mai 1994 de Jean-Paul II une définition dogmatique, un acte du magistère solennel du souverain pontife. Cela dit, il n’en est rien pour la Rome conciliaire. En effet, le 27 juin 1994, le Cardinal Joseph RATZINGER publia un Commentaire (Documentation catholique du 3 juillet 1994, pp. 611-615) de cette dernière lettre. Ce texte donne au nom du Saint-Siège l’interprétation authentique du document, en en indique la nature et l’autorité :

« En présence d’un texte magistériel du poids de cette lettre apostolique se pose aussi inévitablement la question: quel est le caractère obligatoire de ce document ? Il est dit expressément que ce qu’il affirme doit être tenu d’une manière définitive dans l’Église et que cette question est désormais soustraite au jeu des opinions fluctuantes. Cet acte est-il donc un acte de dogmatisation ? À cet égard, il faut répondre que le ne propose aucune nouvelle formule dogmatique mais confirme une certitude qui a été constamment vécue et affirmée dans l’Église. En langage technique, on devrait dire : il s’agit acte du magistère authentique ordinaire du Souverain pontife, donc d’un acte qui n’entend pas définir quelque chose, ni d’un texte solennel ex cathedra, même si l’objet  objet de cet acte est la déclaration d’une doctrine enseignée comme définitive et donc irréformable. » (page 613)

Ce n’est donc pas l’acte de Jean-Paul II qui fait que la doctrine proposée définitivement est non réformable, c’est le vécu dans l’Eglise. Jean-Paul II n’a donc pas l’intention requise pour une locutio ex cathedra.

En 2018, le Cardinal Luis LADARIA, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, déclara lui aussi que ce document n’était pas ex cathedra mais néanmoins infaillible : 

« À cette lumière, il demeure très préoccupant de voir encore surgir, dans certains pays, des voix qui remettent en question le caractère définitif de cette doctrine. Pour soutenir qu’elle n’est pas définitive, on fait valoir qu’elle n’a pas été définie ex cathedra et que la décision ultérieure d’un futur Pape ou d’un Concile pourrait l’annuler par la suite. En semant ces doutes, on crée une grave confusion parmi les fidèles, non seulement sur le sacrement de l’ordre comme partie de la constitution divine de l’Église, mais aussi sur le Magistère ordinaire qui peut enseigner la doctrine catholique de manière infaillible. […]

En second lieu, les doutes sur le caractère définitif dOrdinatio sacerdotalis ont également de graves conséquences sur la façon de comprendre le Magistère de l’Église. Il est important de rappeler que l’infaillibilité ne concerne pas seulement les déclarations solennelles d’un Concile ou du Souverain Pontife lorsqu’il parle ex cathedra, mais aussi l’enseignement ordinaire et universel des évêques du monde entier, lorsqu’ils proposent, en communion les uns avec les autres et avec le Pape, la doctrine catholique à tenir pour définitive. Dans Ordinatio sacerdotalis, Jean Paul II se référait à cette infaillibilité. Il n’a donc pas déclaré un nouveau dogme, mais, de par l’autorité reçue comme Successeur de Pierre, il a confirmé de manière formelle et explicite, afin de dissiper tout doute, ce que le Magistère ordinaire et universel a considéré tout au long de l’histoire de l’Église comme appartenant au dépôt de la foi. Cette forme de décision reflète précisément un style de communion ecclésiale, puisque le Pape n’a pas voulu agir seul, mais comme un témoin à l’écoute d’une tradition ininterrompue et vécue. D’autre part, personne ne niera au Magistère le droit de s’exprimer de manière infaillible sur des vérités qui sont nécessairement liées au donné formellement révélé, car c’est seulement de cette manière qu’il peut exercer sa fonction de protéger saintement le dépôt de la foi et l’exposer fidèlement. » (Osservatore romano, 30 mai 2018, « À propos de certains doutes sur le caractère définitif de la doctrine d’Ordinatio sacerdotalis » : https://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/ladaria-ferrer/documents/rc_con_cfaith_doc_20180529_caratteredefinitivo-ordinatiosacerdotalis_fr.html

Malgré cette bizarrerie conciliaire (au sujet de laquelle nous renvoyons pour en avoir un commentaire au travail suivant : abbé Jean-Michel GLEIZE, Vatican II en débat, pp. 176-178), il n’en demeure pas moins que la caractère exclusivement masculin du sacerdoce constitue théoriquement, même dans le paradigme conciliaire, une doctrine obligatoire, définitive, irréformable, infaillible ! 

Les cinq Cardinaux conservateurs ont posé à François dans leurs dubia du 10 juillet 2023, la question suivante : 

« À la suite des affirmations de certains prélats, qui n’ont été ni corrigées ni rétractées, selon lesquelles la théologie de l’Église et le sens de la messe ont changé avec Vatican II […] Il est demandé également si l’enseignement de la lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis de saint Jean-Paul II, qui enseigne comme une vérité à considérer définitive l’impossibilité de conférer l’ordination sacerdotale aux femmes, est toujours valable, de sorte que cet enseignement n’est plus assujetti à des changements ou à la libre discussion des pasteurs ou des théologiens. »

Après avoir disserté sur la nature et la valeur du sacerdoce, François lâche la bombe suivante :

« D’autre part, pour être rigoureux, nous reconnaissons qu’une doctrine claire et faisant autorité sur la nature exacte d’une “déclaration définitive” n’a pas encore été élaborée de manière exhaustive. Il ne s’agit pas d’une définition dogmatique, cependant, elle doit être acceptée par tous. Personne ne peut la contredire publiquement et pourtant elle peut faire l’objet d’études, comme dans le cas de la validité des ordinations dans la Communion anglicane. » (https://riposte-catholique.fr/archives/182598

Comment ?! Quelle est la nature exacte d’une “déclaration définitive” ? Eh bien tout simplement… une déclaration qui ne pourra par nature jamais être contredite 😆 

Si « une doctrine claire et faisant autorité sur la nature exacte d’une “déclaration définitive” n’a pas encore été élaborée de manière exhaustive », alors que dire de la définition dogmatique de Vatican I de l’infaillibilité pontificale ?!

« Le Pontife romain, lorsqu’il parle ex cathedra, c’est-à-dire lorsque, remplissant sa charge de pasteur et de docteur de tous les chrétiens, il définit, en vertu de sa suprême autorité apostolique, qu’une doctrine sur la foi ou les mœurs doit être tenue par toute l’Église, jouit, par l’assistance divine à lui promise en la personne de saint Pierre, de cette infaillibilité dont le divin Rédempteur a voulu que fût pourvue son Église, lorsqu’elle définit la doctrine sur la foi et les mœurs. Par conséquent, ces définitions du Pontife romain sont irréformables par elles-mêmes et non en vertu du consentement de l’Église. » (Constitution Pastor Aeternus, 18 juillet 1870 – Sur l’infaillibilité pontificale et la primauté du pape, Chapitre 4 : « Le magistère infaillible du Pontife romain »

Par ailleurs, même en admettant qu’aucune « doctrine claire et faisant autorité sur la nature exacte d’une “déclaration définitive” n’a pas encore été élaborée de manière exhaustive », cela ne changerait rien au propos, car peu importe de savoir comment une déclaration est définitive dans sa constitution interne, nous n’en avons pas moins la certitude que certaines doctrine sont des déclarations définitives auxquelles ils ne sera jamais possible de déroger ! Autrement ce n’est pas la certitude du caractère exclusivement masculin du sacerdoce, mais absolument toutes les certitudes de la foi chrétienne ! Pour donner un exemple par analogie, jusqu’aux travaux des scolastiques du milieu du Moyen-Âge, couronnés par la définition dogmatique du IVè Concile du Latran (1215), l’Église ne savait pas que la Présence Réelle du Christ dans l’Eucharistie s’opérait par mode de transsubstantiation, et pourtant elle croyait inébranlablement à la Présence Réelle. Elle ignorait comment la chose était, mais elle n’en avait pas moins la certitude que la chose était.

Aussi nous répétons ici ce que nous disions dans notre premier article sur ces réponses de François, Hérésies des réponses de François aux « Dubia » (1/4) : l’évolution des dogmes  :

« Aussi, peut-être que de fait, la Rome conciliaire ne reviendra jamais sur ses enseignements actuels de condamnation de la contraception artificielle, d’exclusivité masculine du sacerdoce et d’invalidité des ordres anglicans, mais le mal irréversible est déjà fait car François a officiellement déjà déclaré que de droit la remise en cause de ces enseignements était possible. Or le simple fait d’autoriser la remise en cause d’enseignements définitifs et infaillibles est déjà une négation de la foi ! »

Louis FLETENCHARD

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