Henri, 24 ans, a poursuivi l’assaillant de l’attaque au couteau d’Annecy qui a fait six blessés dont quatre enfants, le faisant fuir.
Ce jeune passant, qui portait un sac de randonnée, a poursuivi de longs instants le migrant syrien armé d’un couteau, réussissant à l’éloigner de l’aire de jeu où il s’en est pris à des enfants de 22 mois à 3 ans.
Notre jeune héros, jeune diplômé de management international et passionné de patrimoine religieux parcourt la France pour faire le tour des cathédrales pendant neuf mois.
Nos confrères de Boulevard Voltaire, qui le connaissent, en font un portrait tout en douceur, force et humilité. En voici quelques passages :
« Le drame a ému la France entière. Il faisait beau à Annecy ce jeudi matin et de nombreuses familles étaient sorties. Pendant que les plus grands étaient à l’école, les petits étaient au square. Et la suite est hélas déjà connue. Un individu a surgi, couteau au poing et a frappé, visant spécifiquement les tout-petits dans leurs poussettes. Tétanisés, la plupart des témoins n’ont pas bougé pas, certains ont pressé le pas pour s’écarter, d’autres se sont contentés de filmer. Et puis un jeune homme, chargé de deux sacs à dos, est apparu, s’opposant physiquement aux coups de l’assassin, détournant son attention et le sortant du périmètre où se trouvaient les bébés. Il s’est servi de l’un de ses sacs à dos comme d’une protection, avant de s’en débarrasser pour poursuive plus vite l’assaillant. Très vite, les réseaux sociaux l’ont surnommé « le héros au sac à dos ».
Il s’appelle Henri d’A. et est âgé de 24 ans. Originaire de l’ouest parisien, issu d’une famille nombreuse catholique pratiquante, il faisait depuis plusieurs semaines un Tour de France à la rencontre des cathédrales. « Avant tout une démarche personnelle et même spirituelle ». […]
« J’ai le souvenir d’un garçon passionné, formidable et joyeux » sourit quant à lui un ancien journaliste d’un média catholique chez qui Henri avait fait près de deux ans d’alternance jusqu’à son départ. Après des études de philo à l’IPC et l’obtention d’un master en management, Henri fut un temps tenté par le journalisme – les auditeurs de Radio Courtoisie ont d’ailleurs eu l’occasion de l’entendre. Mais il a finalement mis tout cela entre parenthèses pour faire vivre son projet.
Au fond, lui qui comptait sur « l’aide de la Providence » aura été une aide providentielle pour les victimes. Le pèlerin marchant à la rencontre de Dieu fit la rencontre du Diable et lui barra la route. »
Quant à l’assassin, selon plusieurs médias lors de sa demande d’asile auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, il se serait présenté comme un « chrétien de Syrie ». Or, chacun sait que pour avoir plus de chances d’être considéré comme « réfugié », les associations pro-migrants incitent les demandeurs d’asile à déclarer qu’ils sont soit homosexuels, soit chrétiens.
Personne n’est dupe de ce soi-disant chrétien qui a crié haut et fort tuer «au nom de Jésus Christ» !
La ficelle est un peu grosse et les réseaux sociaux doutent fortement du « christianisme » revendiqué de ce migrant « chrétien » par une illustration qui résume bien les interrogations légitimes du plus grand nombre :
Le 26 mai, répondant aux questions du Dauphiné Libéré lors de son passage à Grenoble (Isère), Henri décrivait les cathédrales comme « le symbole d’une beauté et d’une unité dont nous pouvons aisément nous nourrir ! ».
C’est peut-être cette beauté, dont il s’est nourri en tant que catholique et Français, qui lui a donné la force et le courage d’affronter Abdalmasith H., ce lâche sous-homme qui n’avait rien à faire en France et qui était là par la complicité de la classe politique qui devra, un jour, en rendre compte !
Paul DEROGIS
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !