Site icon medias-presse.info

Genderofolie : la HAS propose un accès gratuit aux transitions de genre dès 16 ans

La Haute Autorité de santé recommande un accès gratuit à la transition de genre dès 16 ans
La Haute Autorité de santé recommande un accès gratuit à la transition de genre dès 16 ans

La Haute Autorité de santé (HAS)propose un accès gratuit aux transitions de genre dès 16 ans qui fait suite à une demande du ministère des Solidarités et de la Santé en 2021. La Haute Autorité de santé (HAS) va incessamment se prononcer sur l’attitude que les professionnels de santé doivent avoir face aux personnes souhaitant entamer une transition de genre. Ce projet, actuellement en relecture, a pu être consulté le 12 décembre dernier par Le Figaro : promotion de l’idéologie néfaste, diabolisation de ceux qui résistent, tout y est.

La HAS veut rendre accessible et gratuite la transition de genre dès l’âge de 16 ans

Interrogée sur l’accompagnement des personnes en transition de genre, la HAS a dévoilé toute une gamme de « soins » à observer auprès d’elles. De la demande de transition, qui doit être uniquement accueillie avec bienveillance et compréhension, aux interventions chirurgicales qui doivent être acceptées dès 16 ans, tout y passe.

L’autorité recommande par ailleurs « que les personnes trans qui le demandent puissent accéder aux chirurgies d’affirmation de genre sans délai supplémentaire », avec néanmoins une légère réserve concernant les chirurgies génitales. La HAS veut en définitive démocratiser l’accès à la transition de genre en rendant gratuits tous les « soins » qui y sont associés telle la prise d’hormones, et surtout abaisser l’âge de la demande à 16 ans, soit pour des mineurs à peine sortis de la puberté, pour la plupart encore influençables et sans esprit critique face à la propagande LGBT.

L’enfant-roi

Fidèle à la doxa, la HAS, celle qui voulait vacciner tout le monde avec les injections à ARnm au moment de la « crise » covid, veut maintenant anéantir le rôle médiateur des parents, premières autorités morales sur les mineurs. Elle insiste ainsi sur la création d’une médiation destinée à forcer la main des parents peu désireux d’accepter les folles et parfois irrémédiables décisions LGBTèsques de leurs enfants. « L’absence de soutien parental peut dégrader la santé mentale et mettre en danger la personne concernée », défend l’HAS.

Justice, Education, Santé… tous se sont mis d’accord pour dégrader l’être humain, lui enlever toute dignité sous couvert d’amour et de compréhension.

Suzi Feufollet

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

Quitter la version mobile