Bien entendu, l’immonde tartuffe passait son temps à dénoncer le patriarcat, n’hésitant jamais à mettre en avant ses convictions en la matière. Ainsi, lors de son dernier discours de président du MJS en 2013, à l’université d’été du PS, on peut l’entendre imaginer la France de ses rêves de 2025. Il disait alors : « La plus grande révolution de la France de 2025, c’est que la nation est devenue un symbole de l’égalité femmes-hommes à travers le monde.(…) On ne compte plus les crèches, les bâtiments publics, s’appellent Olympe de Gouges, Suzanne Lacore, Yvette Roudy, Simone Veil, Najat Vallaud-Belkacem. En 2025, l’égalité salariale est la norme (…) Les violences faites aux femmes reculent même si elles demeurent un fléau ». Eliminer Marchal-Beck serait déjà une étape… A Strabourg, en 2011, il disait déjà : « Etre jeune socialiste, c’est être un militant de l’universalité des droits. C’est pour cela que nous sommes militants féministes et LGBT »… Comme son collègue Baupin, le vert pas galant, Marchal-Beck serait bien aviser de méditer ce dicton américain : « Prêcheur, applique ton sermon ! ».
Il serait bien, un jour où les gens de droite auront accès au cinéma, de faire un film montrant les tenants du Nouvel Ordre Moral côté pile, se lancer dans leurs prêches sur le féminisme, et côté face, leur vrai visage, celui de prédateurs et d’hypocrites. Mais on savait déjà depuis Nietzche et Lebon que les gens de gauche sont souvent des crapules, indignes de la moindre confiance et, partant, de la moindre fonction.
Hristo XIEP
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