La jeune Suédoise, Greta Thumberg, l’égérie écolo des sphères financières, le pantin désarticulé manipulé par des forces politiques dont elle n’a pas même un début de commencement d’idées de leur puissance, celle qui ne va pas à l’école et n’apprend rien, si tant est que l’on apprend encore quelques chose dans les écoles de la modernité et du progrès fabriques d’idiots utiles du système, est de tous les combats idéologiques de la gauche bien-pensante passée du rouge au vert. Il en va de la déconstruction de l’Occident et de la culpabilisation de l’homme blanc, en marche depuis la seconde guerre mondiale, et dont les élites mondialistes, vautrées dans un sentiment des plus masochistes, sont si friandes.

La dernière trouvaille de Thumberg pour alimenter sa lutte environnementale si déconnectée des véritables préoccupations de la génération au-dessus d’elle, le monde de ceux qui travaillent et triment pour vivre, voire survivre, et faire vivre tous ces adolescents en mal de notoriété, et enfants gâtés de la post-modernité, est de relier changement climatique et racisme. Faire cause commune avec l’indigénisme, cette surenchère de l’anti-racisme, cette nouvelle mode médiatique du politiquement correct…

« Après tout la crise climatique ne regarde pas seulement l’environnement. C’est une crise des droits humains, de justice et de volonté politique. Les systèmes d’oppression coloniale, raciste et patriarcale l’ont créée et alimentée. Nous devons tous les démanteler. Nos responsables politiques ne peuvent plus se soustraire à leurs responsabilité » a déclaré, dans une tribune publiée sur le Project Syndicate, cette pythie des temps modernes, interprète de la divinité des athées Gaïa. Et il se trouve dans le monde occidental déchristianisé, matérialiste et vide de sens, sans repères culturels et identitaires, des adultes débiles, et d’autres subversifs, des jeunes fragiles sans avenir et idéologiquement dociles, pour observer scrupuleusement les directives de cette froide jeune fille, au visage sans expression et à la colère enfantine, agent de recyclage des slogans de la gauche progressiste. Le millénarisme apocalyptique de Greta Thumberg épouse les idées radicales et extrémistes du marxisme sociétal, celui de l’anti-racisme, de l’anti-colonialisme, de l’anti-patriarcat.

Et voici donc les trois « anti » politiquement corrects qui viennent à la rescousse du combat écolo anti-changement climatique, on ne voit pas trop sur quelles bases scientifiques… mais on voit bien par là que le combat de l’activiste suédoise n’est autre que l’agenda politique de la révolution mondiale totalitaire en marche

Francesca de Villasmundo


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