Dans une interview réalisée par Tucker Carlson, le médecin et scientifique Michael Nehls a affirmé que le COVID et les dits vaccins ont été conçus pour réduire l’humanité à un « mode zombie » permanent, dirigé par un gouvernement mondial.
Le médecin et scientifique allemand Michael Nehls affirme que le COVID-19 et les « vaccins » à ARNm ont été conçus pour rendre les humains incapables de pensée, de mémoire et de résistance à la propagande de peur. L’objectif est de réduire l’humanité à un « mode zombie » permanent, dirigé par un gouvernement mondial usant d’algorithmes d’IA.
Nehls a déclaré à propos de ses recherches : « J’ai réalisé qu’il ne s’agissait pas de santé. Il ne s’agit même pas d’argent. Il s’agit de conquérir l’esprit humain. »
Protéines et propagande
Dans un récit qui explique la relation entre les récits constants de peur, les politiques insensées de nos gouvernements et les effets des protéines de pointe génétiquement modifiées dans le COVID et les « vaccins », le Dr Nehls dit que les pièces se sont réunies pour lui lorsque il a compris l’impact du virus et des injections sur le cerveau humain.
« Et puis, tout à coup, tout à fait sens, et toutes les pièces du puzzle se sont assemblées de manière transparente », explique-t-il. « J’avais une photo devant moi qui montrait clairement ce qu’ils faisaient. Et cela vise vraiment à saper la capacité humaine à penser. »
Son interview de 49 minutes publiée sur le site Internet de Tucker Carlson n’est pas un poisson d’avril. Nehls y explique la science et la recherche derrière les affirmations étonnantes qu’il fait dans son livre.
« Le cerveau endoctriné »
Intitulé Le cerveau endoctriné : Comment réussir à repousser l’attaque mondiale contre votre liberté mentale, le livre « dévoile un mécanisme d’endoctrinement neurobiologique jusqu’alors non identifié qui modifie considérablement la personnalité ».
Nehls, avec Naomi Wolf, affirme dans le livre que l’alarmisme médiatique n’est qu’un front dans une « guerre contre le cerveau humain ».
Des preuves accablantes suggèrent que les luttes contre les pandémies perpétuelles, le changement climatique incontrôlable et les frontières nationales ne sont que les aspects d’une guerre singulière et secrète contre le cerveau humain.
L’objectif est la capture permanente de l’humanité – à travers la destruction de notre « système immunitaire mental ».
Le véritable champ de bataille est le système immunitaire mental de notre société.
L’arme de la dépression
Le livre de Nehls cite la véritable pandémie de maladie mentale et de dépression, qui, selon lui, est également une crise réelle mais fabriquée.
Le fort déclin de la santé mentale dans tous les groupes d’âge n’est pas le simple dommage collatéral d’une stratégie anti-Covid-19 défectueuse, mais le résultat logique d’un processus d’endoctrinement neuropathologique furtif et sophistiqué.
Les maladies mentales épidémiques sont un symptôme et un moteur d’un endoctrinement de masse, dont le but final est le contrôle total.
Ce processus vise une grande réinitialisation mentale, positionnant l’humanité pour qu’elle accepte « volontairement » un nouveau système totalitaire dès le départ, malgré son incompatibilité fondamentale avec la nature humaine.
L’humanité en mode zombie
Nehls illustre comment l’humanité est reprogrammée pour être sans mémoire, sans individualité sur la base d’un modèle acceptable de conscience humaine.
Ceci, dit-il, est fait pour rendre le futur règne technocratique fondé sur l’intelligence artificielle acceptable pour une population rendue souple par la guerre biologique.
Ce qui se passe ici, c’est « nous détruisons l’individualité ».
Le « nous » ici, ce sont les gouvernements et les ONG qui cherchent à réaliser leur tyrannie technocratique.
Comment cela se réalise-t-il en pratique ? Nehls cite les travaux de lauréats du prix Nobel – l’économiste Daniel Kahnemann et le pionnier du génome humain Francis Crick, qui ont exposé la théorie des « deux systèmes » du cerveau.
« Le système deux est le cerveau pensant », explique Nehls, tandis que « le système un est notre action par défaut pendant la journée, ce qui nous permet, dans des situations standard, de réagir d’une manière qui ne coûte aucune énergie mentale.»
« Et Crick a nommé le système 1 le mode zombie. Donc, si vous n’êtes plus en mesure d’engager le système deux – sous l’attaque du virus, de la campagne alarmiste et d’un mode de vie malsain – alors vous êtes coincé dans un mode zombie. »
Outre la suppression des remèdes, Nehls mentionne également comment les restrictions de confinement ont éloigné les gens des comportements sains, réduisant leur exposition au soleil, leur activité physique et leurs relations sociales enrichissantes. Ceci aussi, dit-il, est intentionnel, la dépression qui en résulte elle-même étant un mécanisme d’arrêt du cerveau pensant du système deux.
Carlson a demandé ce que cela signifiait pour la croyance religieuse.
Nehls répond : « La croyance religieuse est basée sur la mémoire. Si la mémoire est écrasée, vous avez déjà la réponse. »
L’avenir projeté est un avenir sans Dieu et dépourvu de toute identité humaine significative. C’est peut-être ce que l’on entend lorsqu’ils disent : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».
Le mécanisme de contrôle
Dans l’interview, Nehls affirme que les protéines de pointe du virus et des « vaccins » ont été délibérément conçues pour pénétrer dans le cerveau – une action qui n’était pas possible avec le SRAS-CoV-1.
Il affirme que les articles de recherche publiés en 2007 et 2008 sur cette première épidémie de coronavirus ont démontré le danger des protéines de pointe, qui ne provoquaient à l’époque qu’une « neuroinflammation secondaire ».
« Ainsi, quand on regarde en arrière il y a 15 ans, il était clair que la protéine Spike est une arme biologique contre le cerveau, en particulier la partie du cerveau que j’appelle notre système immunitaire mental », explique Nehls, « qui est la partie très, très importante du cerveau. partie qui nous rend humains… qui nous permet de penser, qui nous permet d’être curieux, qui nous permet d’explorer le monde et de développer une culture, tout. »
Il conclut : « La protéine Spike a donc essentiellement attaqué l’humanité, la base même de l’être humain. »
Comment ces protéines Spike sont-elles devenues capables d’attaquer directement le cerveau ?
« Ils ont transformé le SARS-CoV-1 en SARS-CoV-2 en incluant ce site de clivage de la furine dans le génome de la protéine de pointe.»
Nehls démontre que cela était délibéré. Il fournit les raisons pour lesquelles cela a été fait et montre également comment les remèdes à base de vitamine D et de lithium – qui, avec l’exercice, peuvent inverser les dégâts – ont été discrédités par l’Organisation mondiale de la santé et dans les principales revues médicales.
Comment reprogrammer l’humanité
Nehls possède une solide expérience dans la recherche sur la maladie d’Alzheimer, documentée sur son propre site Web. C’est ce qui l’a amené à comprendre l’inflammation cérébrale et la suppression de la neurogenèse – la régénération naturelle des cellules cérébrales – qui a lieu dans la zone connue sous le nom d’hippocampe. C’est ainsi que de nouveaux souvenirs sont créés, ainsi que les gens apprennent, et c’est à l’origine de ce qui rend les gens individuels dans leurs pensées et leurs croyances. C’est le siège de l’identité humaine et, selon lui, la cible d’une guerre contre l’action humaine elle-même.
Il dit que l’action des protéines Spike du virus et des « vaccins » dans le cerveau arrête la génération de souvenirs de la même manière que dans le cas de la maladie d’Alzheimer.
Citant un article montrant que jusqu’à 4 % de l’ARNm provenant des « vaccins » pénètrent dans le cerveau, Nehls explique pourquoi cela conduit à un contrôle de masse de l’esprit.
Donc, si vous voulez vraiment transformer un cerveau, c’est un processus en deux étapes. Tout d’abord, vous bloquez la neurogenèse, la production de nouvelles cellules nerveuses dans l’hippocampe.
Le cerveau étant inhibé, il est prêt à programmer.
Ensuite, vous proposez les histoires que vous souhaitez installer.
Nehls souligne l’importance d’associer l’émotion aux récits implantés, ce qui explique pourquoi l’actualité fournit constamment de nouvelles choses à craindre.
Mais comme ils doivent venir avec une émotion, on ne peut pas raconter la même histoire tous les jours. Il faut changer l’histoire de jour en jour. Ils doivent inventer de nouvelles histoires avec la même intention.
Il cite comme exemples les histoires de rupture sociale, de migration massive et ses impacts, la menace de guerre nucléaire et la « crise climatique ».
« Toutes ces histoires reviennent jour après jour », dit-il, soulignant que la crise est un thème central du Forum économique mondial et des gouvernements qui suivent son agenda.
Le Forum économique mondial publie un programme chaque année en janvier : il parle de « crise permanente ».
Il affirme que le WEF dispose de « centaines de points » sur lesquels il pourrait « déclencher la prochaine crise ».
Pourquoi est-ce important ? Nehls dit que « votre histoire personnelle est écrasée par ces histoires alarmistes ».
Un plan en action
Nehls dit que tout cela était « bien planifié » – même les « nouvelles règles » que des gouvernements comme le sien en Allemagne « changeaient chaque jour ».
Selon lui, cela donnait l’impression que les gouvernements ne savaient pas ce qu’ils faisaient. Pourtant, dit-il, « si vous regardez l’hippocampe – le fonctionnement de la mémoire autobiographique – ce changement de règles faisait partie du plan ».
« Changer les règles tous les jours signifie que vous devez mémoriser de nouvelles règles. Et ils écrasent votre centre de mémoire », dit-il. « Il s’agit avant tout d’installer un nouveau système d’exploitation » – un « système d’exploitation social maléfique (SOS) » associé à la reprogrammation de l’humanité elle-même.
Nehls dit que dans le passé, il était possible de regarder par-dessus la « barrière », même sous les pires régimes, pour voir si « l’herbe était plus verte de l’autre côté ».
Avec un programme global, l’objectif est d’éliminer toute alternative – à la fois dans la réalité et dans l’imagination.
«Il faut créer une situation où il n’y a pas de refuge», dit Nehls en parlant de la portée mondiale du plan. « Si tout le monde est attaqué, il n’y a pas de frontière. Vous ne pouvez aller nulle part. »
La seule barrière qui reste dans cette guerre sans frontières est celle préservée par votre esprit.
C’est la raison pour laquelle l’espace de combat est bien le cerveau, comme l’a annoncé le Dr James Giordano dans sa présentation vidéo de 2018 au Modern War Institute de West Point.
Nehls souligne la nécessité d’effacer la mémoire – la mémoire d’une époque antérieure – pour capturer à la fois l’humanité et son avenir.
Une fois que vous commencez à écraser le passé, il n’y a plus de frontière dans le cerveau.
Malgré l’obscurité de ses découvertes et l’heure tardive, Nehls souligne que la bataille n’est pas terminée et comment elle peut être gagnée.
Un message d’espoir
Nehls conclut ce qui pourrait s’avérer être l’histoire la plus importante de l’histoire du monde moderne avec un message d’espoir.
«C’est réversible», déclare-t-il.
Il dit que le processus de contrôle peut être inversé chez l’individu et dans la société de masse. Pour ceux qui sont déjà endommagés par les protéines de pointe, il dit que la vitamine D, l’exercice – et dans les cas graves, le traitement au lithium peuvent restaurer la fonction cérébrale.
Il termine son livre avec « un chapitre d’espoir », en disant « nous pouvons changer, nous pouvons à nouveau nous responsabiliser ».
Il dit que c’est nous qui gagnons en puissance, nous qui détenons la vérité contre les ténèbres.
Il affirme qu’une résistance croissante à ce programme peut s’emparer d’une majorité absolue d’opinion.
« À l’heure actuelle, environ 20 pour cent, je suppose, ou peut-être même 25 à 30 pour cent de la population mondiale réalise l’existence de ce programme. »
Si chacun parvient à convaincre une seule personne, affirme-t-il, «alors nous serons 50 à 60 % ».
Son message est que la connaissance de cette conspiration contre l’humanité est une arme que vous pouvez utiliser pour combattre ce dessein diabolique.
Pierre-Alain Depauw
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