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Grand Remplacement: de 1996 à 2016 explosion des prénoms musulmans dans les départements de France

Les deux cartes comparatives suivantes illustrent l’explosion du pourcentage des prénoms musulmans dans chaque département de France, entre 1996 et 2016, à partir des chiffres de l’INSEE.

Chaque début d’année, l’INSEE publie les chiffres de l’Etat Civil relatifs aux prénoms attribués aux enfants nés en France depuis 1900. A partir des relevés des registres de l’État-civil, deux cartes des prénoms musulmans en France: 1996 et 2016, illustrent Le Grand Remplacement qui s’accélère depuis 20 ans. Les chiffres indiqués pour chaque département sont des pourcentages. Ainsi en Seine-St-Denis 42,9% des prénoms sont musulmans, en Val-de-Marne 26,3%, dans le Rhône 23,5%, dans les Bouches-du-Rhône 20%, dans l’Hérault 19,8% et à Paris même:17,1%, etc.

Le discours public vous annonce des pourcentages d’immigration « acceptables » chaque année. Cela semble constituer un petit pourcentage à l’échelle de l’année. Sauf que ce prétendu petit pourcentage est exponentiel et qu’il s’accumule d’année en année depuis 1946, avec une accélération spectaculaire à partir de 1999. Alors qu’avant 1946 la courbe était plate. Et tous ces immigrés ou issus d’immigrés, font beaucoup d’enfants et sont principalement en provenance de pays musulmans.

Avortement + Immigration = Grand remplacement

Les avortements, sont aujourd’hui encouragés, décriminalisés et au contraire présentés comme vertueux par la loi puisqu’ils sont associés à la lutte féministe.  Ces avortements qui sont mieux remboursés que les frais de naissance, touchent principalement la population autochtone qui est réticente à vivre assistée. L’avortement se substitue ainsi aux aides à la famille et permet d’escamoter un éventuel abandon d’enfant. L’avortement banalisé et encouragé est la base du grand projet de substitution de populations et de civilisation mis en place au niveau de l’ONU qui est la première à présenter chaque année un rapport des « populations de remplacement » en direction des pays de civilisation chrétienne qu’on regroupe sous le terme d’Occident. La Russie luttant au contraire contre ces procédés en encourageant les naissances est l’exception du monde chrétien. L’ONU feint de croire que la dépopulation des pays de civilisation chrétienne est spontanée, alors que la dépénalisation ainsi que les milliards distribués chaque année pour encourager les avortements, prouvent le contraire. Les lois socialistes de Marisol-Touraine, François Hollande et Manuel Valls, non seulement dépénalisent l’avortement et l’encouragent, mais en plus elles pénalisent toute lutte contre l’avortement.

Les cartes ci-dessus sont plus éloquentes que tous les discours.

Ci-dessous la méthodologie de cette étude, ainsi que quelques graphiques supplémentaires très éloquents:

Méthodologie :

Il a été nécessaire de créer de toutes pièces un « référentiel » des prénoms musulmans.

Si le Coran indique que le prénom du musulman consiste en « une marque distinctive nécessaire pour faciliter la communication entre son porteur et les autres », pas évident de les identifier parmi les 31000 prénoms de la base de l’INSEE…

Plusieurs listings disponibles sur les sites communautaires suivants ont été passés au crible : www.halalbook.fr, www.prenommusulmanrare.com, www.pageshallal.com, www.katibin.fr.

Un référentiel des étudiants du monde, par pays d’origine www.studentsoftheworld.info a également été utilisé.

Certains prénoms, bien que très populaires dans la communauté musulmane, peuvent parfois être attribués à des enfants non musulmans. Il a été pris la décision de ne qualifier de prénom musulman que les prénoms qui n’induisent AUCUNE AMBIGUÏTÉ sur la question. Les chiffres présentés par la suite sont donc nettement modérés au regard de la réalité.

Exemples de prénoms de filles non catégorisés musulmans : Sarah, Ines, Lina, Sofia, Sabrina, Lydia, Selma, Camelia, Célia, Lisa, Myriam et autres Lilia, exemples chez les garçons : Adam, Aaron, Abel, Eden, Adem, Ismael, Elyes, Liam et de nombreux prénoms à origine hébraïque.

Cette ambigüité plus importante sur les prénoms de fille est vérifiée sur le fait que les garçons portant un « prénom musulman » représentent plus de 55% de l’échantillon, contre 51% pour les prénoms « non musulmans » (oui, 1% de spermatozoïdes sont sexistes). 

Étude au niveau national

Jusqu’à la fin de la seconde guerre, c’est le calme plat… Moins de 1 naissance sur 1000 en France est concernée par l’attribution de prénoms musulmans… NB : l’Algérie, alors département français, n’est pas comptabilisée, idem pour les autres colonies.

Phase 1 : Les choses commencent à changer à partir de 1946, première année ou plus de 1000 enfants nés en France porteront un prénom musulman.
1958, De Gaulle obtient les pleins pouvoirs constitutionnels, c’est également cette année-là que le taux de prénoms musulmans donnés aux enfants  français dépasse pour la première fois les 1%. Ce taux augmente de façon faible mais régulière pendant les 30 glorieuses, avec une croissance moyenne de 0,1 points chaque année.

Phase 2 : 1973, le « baby-boom » est déjà loin, la crise pétrolière éclate, le taux chômage bondit et Giscard arrive au pouvoir. Il décide de faciliter le regroupement familial. La loi Veil sur l’IVG est votée (pour rappel, l’Islam bannit plus que toute autre religion l’avortement). On constate une accélération sensible du taux de prénoms musulmans qui augmente de 0,3 points chaque année.

Non, c’est le christianisme qui bannit plus que toute autre religion et même plus que l’Islam, l’avortement, car l’Islam tolère l’avortement jusqu’à un mois. Ce qui n’est pas le cas du catholicisme. Mais les chrétiens, ou les anciennes populations chrétiennes, ne s’occupent plus des fondamentaux de  leur religion depuis que Vatican II et les papes conciliaires à leur suite, ne cessent d’édulcorer le message de l’Église. Tandis que les musulmans restent majoritairement fidèles aux fondamentaux de leur religion.

Phase 3 : Les années Mitterrand…  Contrairement aux idées reçues, ces 14 années ne vont pas constater une accélération du taux d’octroi de prénoms musulmans. Celui-ci, qui est de 6,5%, en 1983 décroit même légèrement jusqu’à la fin du second mandat. Ce taux ne sera ré-atteint qu’en 1998, la fameuse année « Black Blanc Beur ».

Phase 4 : De 1995 à aujourd’hui. La 2ème génération issue du regroupement familial des années 70 est en âge de procréer. Une nouvelle immigration, issue notamment d’Afrique sub-saharienne se développe. Cette communauté, culturellement fertile, conserve souvent un mode de vie traditionnel.

Ces 20 années présentent une croissance impressionnante du taux de prénoms musulmans donnés aux enfants nés en France, aussi bien par son importance que par sa régularité avec 0,65 points chaque année. Source Fdesouche

Voir en référence: 

emiliedefresne@medias-presse.info

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